Les personnes interrogées apprécient notamment la transparence, la durabilité et l’éthique de CoOpera relative aux placements et au service clientèle. Certains employeurs et personnes assurées déplorent l’absence d’interlocuteur direct. La direction de CoOpera prend cette question au sérieux. Grâce à cette enquête, les grandes lignes des améliorations à mettre en place apparaissent désormais clairement.
Le rendement est une source d’inquiétude.
À l’avenir, CoOpera portera une attention particulière à celui-ci, tout comme à la stabilité financière. Ces deux thèmes ont été abordés en réponse à la question « Quelle est votre principale réticence par rapport à CoOpera ? ». Les autres points importants suivants ont été relevés : taux de couverture dans le contexte actuel, baisse du taux de conversion, prévoyance insuffisante lors de la retraite. Grâce à cette enquête, nous avons gagné des savoirs précieux, qui nous aideront à définir les grandes lignes et les mesures efficaces à prendre.
La confiance envers CoOpera est grande, et le contact sera encore amélioré.
La qualité de CoOpera est élevée. Cela se reflète également dans les réponses des personnes sondées : seulement 12,3 % d’entre elles avaient des doutes. Les précisions apportées donnent des indications extrêmement précieuses sur les leviers à actionner.
Par ailleurs, il semble que les employeurs romands ressentent un fort besoin d’entretenir un contact plus étroit avec les conseillères et conseillers à la clientèle. La direction a déjà fait un premier pas en ce sens.
Pour beaucoup de personnes, la stratégie de placement est ce qu’il y a de plus important.
Il s’est avéré que l’importance du contact personnel augmente, que ce soit auprès des personnes assurées en Suisse alémanique (56 %) et en Suisse romande (74 %) ou auprès des employeurs alémaniques (80 %) et romands (86 %). De plus, 76 % des personnes interrogées ayant répondu considèrent qu’il est important pour elles de connaître la stratégie de placement de leur caisse de pension et 57 % ont indiqué ne pas connaître celle de CoOpera. Il est temps d’agir sur ce sujet.
Un grand merci.
Le site Internet et la newsletter « . point-virgule , » sont de loin les canaux d’information de CoOpera les plus utilisés. L’application est quant à elle peu connue et seulement 6 % s’en servent pour s’informer. Pour la plupart, le site Internet est facile à utiliser et convivial, et une écrasante majorité évalue la newsletter « . point-virgule , » comme « bonne à très bonne ». Cela nous fait plaisir et nous encourage à en maintenir et à en augmenter la qualité.
Le résultat le plus réjouissant revient à la question « Jusqu’ici, dans quelle mesure CoOpera a-t-elle répondu à vos attentes ? » : 92 % des employeurs alémaniques et 80 % des employeurs romands ont répondu par l’affirmative. C’est une joie pour nous et nous vous en remercions !
Les résultats des élections sont connus et nous avons le plaisir de vous annoncer que les représentants des salariés suivants ont été élus :
Raphaela Bitschnau-Wolf
Anna Schmid-Schaa
Hannes Zumkehr
Le Conseil de fondation se compose désormais comme suit :
Représentation des employeurs Représentation des salariés
Christoph Cordes Raphaela Bitschnau-Wolf (nouveau)
Katharina Detreköy Anna Schmid-Schaa (nouveau)
Niklaus Schär Philipp von Homeyer
Peter Tschannen Johannes Zumkehr (nouveau)
Les nouveaux membres du Conseil de fondation entreront en fonction le 1er mars 2023.
Nous tenons à remercier ici Annett Hofer, Christine Jost et Romana Tomasi pour leur grand engagement en faveur de la fondation au cours des dernières années et souhaitons aux nouveaux élus beaucoup de plaisir et de succès dans leur fonction au sein du Conseil de fondation.
Le Conseil de fondation de CoOpera Fondation collective PUK
Le communiqué en PDF: Les nouveaux membres du Conseil de fondation81.22 kB
Les montants limites changent à partir du 01.01.2023
Seuil d’entrée à ce jour : |
CHF 21 510 |
nouveau : |
CHF 22 050 |
Déduction de coordination à ce jour : |
CHF 25 095 |
nouveau : |
CHF 25 725 |
Limite supérieure du salaire annuel à ce jour : |
CHF 86 040 |
nouveau : |
CHF 88 200 |
Salaire coordonné max. à ce jour : |
CHF 60 945 |
nouveau : |
CHF 62 475 |
Rachat max. pilier 3a à ce jour : |
CHF 6883 |
nouveau : |
CHF 7056 |
Règlement de prévoyance à partir du 01.01.2023
Le règlement de prévoyance a été révisé en détail et modifié lorsque cela s’avérait nécessaire. Nous attirons votre attention sur les points suivants :
Outil en ligne
À partir de 2023, toutes les factures (annuelles, mensuelles, trimestrielles) pour toutes les affiliations seront automatiquement établies dans l’outil en ligne. En outre, les documents (comme les informations de fin d’année, etc.) seront à l’avenir disponibles directement dans l’outil en ligne, ce qui permettra de réduire les frais d’impression et de port.
Vous pouvez également nous communiquer les nouveaux salaires au 01.01.2023 (saisie jusqu’au 09.01.2023) via l’outil en ligne, de manière simple et pratique.
Veuillez noter que pendant la clôture annuelle interne de l’administration technique (10.01.2023-13.01.2023), l’outil en ligne ne sera pas disponible pour vous.
Horaire d’ouverture Noël / Nouvel An
Notre centrale téléphonique sera fermée du vendredi 23 décembre 2022 à 16h00 jusqu’au lundi 2 janvier 2023. Nous serons de nouveau à votre service à partir du 3 janvier 2023. Nous vous souhaitons d’ores et déjà, à vous et à vos proches, un joyeux Noël et une bonne année.
Nous tenons à remercier sincèrement tous nos partenaires pour leur collaboration fructueuse et agréable.
En 2015, j’ai eu le plaisir d’ouvrir et de diriger une succursale à Berne pour le compte de cette régie.
J’aime beaucoup travailler avec les jeunes, c’est pourquoi j’ai suivi et terminé en 2020 un cursus de formatrice en entreprise.
Mon temps libre, je le passe de préférence avec ma famille. Je suis mère de deux jeunes enfants. Toutes les deux semaines, j’ai le plaisir de donner un cours de gymnastique parents-enfants à Kirchlindach. Je suis heureuse de transmettre aux plus jeunes le plaisir de bouger.
Je me réjouis de collaborer et de relever des défis avec CoOpera Fondation collective PUK / CoOpera Immobilien AG.
PRONATEC Swiss Cocoa Production est la première usine de transformation de cacao 100 % bio de Suisse. Elle est la première du pays à produire les trois produits semi-finis à base de cacao en qualité bio et équitable : la pâte de cacao, le beurre de cacao et la poudre de cacao.
Entièrement bio et issu du commerce équitable
De l’approvisionnement auprès des petits cultivateurs à la transformation et à la vente, en passant par la fermentation et l’exportation, toutes les étapes du processus sont entre les mains de Pronatec. Tout est bio, tout est équitable. Pronatec nous en dit plus : « Le cultivateur de cacao Santos Santos Ramirez Galvez (en photo) fait partie de la coopérative ‹El Quinacho› au Pérou, avec laquelle nous collaborons depuis 2000. Nous achetons à cette coopérative la totalité de la récolte de cacao certifiée bio et fairtrade et l’utilisons entre autres pour la production de nos plaques de chocolat AMARRÚ. »
En visite chez une productrice de cacao de Pronatec : Eustaquia Morena
Eustaquia effectue une partie de son travail chez elle, où elle réceptionne les fèves de cacao fraîches que lui apportent des fermiers locaux. Le reste du temps, elle travaille avec son mari sur leur propre parcelle de cacao. Cela signifie se lever tôt, préparer les outils, emballer la nourriture pour les chevaux et le repas pour les travailleuses et travailleurs. Il faut une heure et demie pour rallier à pied la plantation de cacao depuis le village de La Parcela. « Nous possédons plus de terres que la plupart des autres paysans ici », explique Eustaquia. « Mais notre parcelle est très éloignée et il est très fatigant d’y aller et d’en revenir. »
Pour couper les arbres, enlever les mauvaises herbes ou planter de jeunes plants, les hommes utilisent de simples machettes. Les soins et la taille d’entretien sont importants pour améliorer le rendement. Lors de la récolte, les mazorcas (cabosses de cacao) qui pendent sur les hauteurs sont coupées à l’aide d’un couteau fixé à une longue tige de bois. Les hommes et les femmes ouvrent chaque cabosse à l’aide d’une machette, prélèvent la pulpe et les fèves de cacao et mettent le tout dans des sacs. À midi, Eustaquia prépare le repas, puis tout le monde retourne au travail. Le soir, les lourds sacs sont chargés sur les chevaux et tout le monde reprend le chemin du village pendant une heure et demie, où Eustaquia doit encore s’occuper des tâches ménagères et préparer à manger. « Les chevaux sont très importants pour nous. Sans eux, nous ne pourrions pas transporter les fèves sur une aussi longue distance, explique-t-elle. Nous possédons un cheval et nous en louons un autre si nécessaire. »
Trajets tous les 14 jours – la famille est essentielle
Comme certaines fèves de cacao mûrissent toute l’année, Eustaquia et son mari se rendent à la plantation de cacao au moins toutes les deux semaines. Outre le cacao, ils récoltent des oranges, des oranges amères, des citrons, des bananes, des bananes plantain, des urus, des avocats, des ignames et du taro qui poussent entre les cacaoyers. Mais la récolte principale du cacao a lieu de mars à juillet et coïncide exactement avec la saison des pluies, ce qui la rend plus pénible et accroît le risque de maladies. La deuxième récolte, entre décembre et janvier, est nettement plus modeste. La plantation de cacao d’Eustaquia produit en moyenne environ 600 kilogrammes de fèves de cacao par hectare.
Pendant son temps libre, Eustaquia va à l’église trois fois par semaine et se détend à la maison avec son mari. Le week-end, ses deux filles viennent souvent leur rendre visite avec leurs maris et leurs cinq petits-enfants. « Une de nos filles vit dans la capitale et étudie l’informatique, l’autre vit dans le village voisin où elle apprend la comptabilité. Les deux filles possèdent également de petites plantations de cacao qu’elles ont reçues de mon mari et moi. » La famille joue un rôle important dans la vie d’Eustaquia. Elle se réunit souvent, par exemple pour les anniversaires et les fêtes importantes comme la Semana Santa, Noël et le Nouvel An, avec un dîner traditionnel composé de haricots, de riz, de manioc et de bananes plantain avec du bœuf, du porc ou du poulet.
Commerce équitable et bio = meilleure qualité de vie
Après une longue vie dans la culture du cacao, Eustaquia est convaincue que l’agriculture biologique améliore la santé et les moyens de subsistance des paysans. « Nous recevons une prime pour le cacao biologique, qui est importante pour nos revenus et nous permet à nouveau d’investir », explique-t-elle. « Le plus important, c’est de ne pas empoisonner l’environnement et de proposer des produits sains. »
Eustaquia Morena est membre d’une organisation régionale de producteurs FUNDOPO. Celle-ci fournit à Pronatec, par l’intermédiaire de sa filiale YACAO, du cacao issu de l’agriculture biologique et du commerce équitable en provenance de la République dominicaine depuis 1999. De 84 familles aux débuts en 2000, la communauté s’est agrandie à plus de 2400 petits exploitants. La certification du commerce équitable a permis d’améliorer les conditions de vie et de travail des petits agriculteurs et de leurs familles.
De haute qualité, certifié et fiable
Grâce à la confiance et au souci de qualité de ses agriculteurs, PRONATEC peut fournir à ses clients de l’industrie alimentaire et cosmétique internationale des matières premières certifiées de haute qualité. Il s’agit notamment de produits du cacao, de sucre, de vanille et d’épices sûrs, traçables et de haute qualité. L’entreprise familiale suisse dirigée par ses propriétaires entretient des partenariats de longue date avec des petites coopératives agricoles dans les pays d’origine et contribue de manière mesurable à l’amélioration des conditions de vie de la population productrice.
L’entreprise emploie quelque 60 personnes au siège de Winterthour et une trentaine sur le site de production de Beringen, près de Schaffhouse.
CoOpera Beteiligungen AG est partenaire et investisseuse de Pronatec.
Dans tous les cas, merci de bien vouloir remplir au préalable le questionnaire de rachat et de nous le soumettre. Cela garantit que le montant peut être comptabilisé à temps et que vous recevrez le certificat fiscal pour 2022.
CoOpera y possède depuis quelques années un petit bâtiment commercial entouré d’ateliers de menuiserie, de paysagistes, de sculpteurs sur pierre et de serruriers. C’est là que le secrétariat vient de s’installer. Bilan réjouissant après un mois passé sur le nouveau site : « Nous prenons nos marques et travaillons tous sur un même étage dans des locaux plus spacieux. Et désormais, nous pouvons tenir des réunions plus importantes à l’interne, ce qui simplifie beaucoup les choses. » Sans oublier les remerciements : « Un grand merci à toutes celles et tous ceux qui nous ont donné un coup de main avant, pendant et après le déménagement. Et si vous passez dans la région, n’hésitez pas à nous rendre visite. Ce serait un plaisir de vous accueillir. Nous sommes là pour vous. »
CoOpera
Il y a 25 ans, lorsque « NOVUM » a été créée, la Sàrl (GmbH) était un acteur de niche. Aujourd’hui, NOVUM – Das Gemüseabo est une société à responsabilité limitée dynamique et d’importance régionale, implantée dans les Lands de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Rhénanie-Palatinat et de Hesse.
Bio Development AG a participé à NOVUM, grâce à des liens tissés à travers des expositions et aux volumes d’achat de Phönix GmbH. NOVUM a ainsi pu prospérer à merveille.
En alliant les concepts de magasin spécialisé dans les produits bio et de vente en ligne, NOVUM a ouvert un segment à fort potentiel de développement. Le lien interne avec Bio Development AG s’est renforcé, l’enthousiasme persiste et la collaboration s’étend toujours.
Des fruits et légumes frais comme il y a 25 ans : comment est-ce possible ?
NOVUM livre aujourd’hui comme à ses débuts il y a deux décennies des fruits et légumes frais et beaucoup d’autres aliments de culture et production biologiques, régulièrement et sans détours, directement sur le pas de la porte.
2020 a été pour l’équipe de NOVUM une année pleine de turbulences causées par la pandémie. Le coronavirus a poussé tout le monde dans ses retranchements. Les équipes travaillaient par tournus, pratiquement 24 heures sur 24. Jour après jour, plus de 10000 caisses de légumes sortaient des lignes d’emballage et entre quatre et six tonnes d’aliments frais rejoignaient les entrepôts frigorifiques.
Les difficultés ont été surmontées et l’entreprise est aujourd’hui saine, bien positionnée et dynamique. Elle compte 110 collaboratrices et collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de 8,6 millions d’euros.
Plus innovante que jamais
NOVUM aide ses clientes et clients à composer leur menu hebdomadaire, ce qui leur permet d’améliorer leur qualité de vie à travers leur alimentation. De plus, NOVUM leur offre une flexibilité maximale : commande unique ou tournus, conseil personnalisé ou commande rapide en ligne, fruits et légumes de saison ou produits de la nature atypiques...
Tout est possible et faisable, et ça marche ! Grâce à une bonne dose de réalisme et de savoir-faire en matière de services en ligne. Mais l’entreprise veille aussi à proposer une structure de prix équitable. Un mode de pensée holistique et une relation de confiance avec les producteurs, les fournisseurs et la clientèle sont les fondements de la philosophie de l’entreprise.
NOVUM s’efforce toujours de conclure des contrats à long terme avec ses fournisseurs, ce qui confère de la sécurité à tout le monde. Les composantes sociales peuvent ainsi être prises en compte et il est possible d’aménager et d’intégrer des nouveautés techniques ou écologiques dans le travail quotidien. Avec la durabilité en guise de fil rouge. Il est donc logique que NOVUM ne jette pas les excédents, mais les recycle en les transformant en nourriture pour animaux.
La caisse fraîcheur bio – une autre nouveauté de NOVUM
NOVUM vend exclusivement des produits de culture biologique contrôlée, l’objectif étant d’arriver à un bilan environnemental positif. Les légumes bio de première fraîcheur et les fruits bio triés à la main de la meilleure qualité sont livrés dans des caisses fraîcheur bio.
Elles existent en six variantes et en trois tailles pratiques pour les ménages. Elles sont composées en fonction des besoins, des souhaits et des régimes alimentaires des consommatrices et consommateurs. NOVUM y ajoute des recettes pouvant être réalisées avec les aliments proposés.
L’entreprise planifie chaque semaine le contenu des caisses fraîcheur afin de fournir à ses clientes et clients la plus grande variété possible de produits de saison. La clientèle ne commande que la quantité dont elle a vraiment besoin et reçoit tout d’un seul tenant, pour un éco-bilan positif et un sentiment de confort bio.
Toutes les caisses de pension réduisent leurs prestations suite à l’abaissement du taux de conversion, c’est une réalité. Et il n’en va malheureusement pas autrement chez nous. D’ici 2026, le taux de conversion passera progressivement à 5 % à 64 ans pour les femmes et 65 ans pour les hommes.
Il est néanmoins possible de prendre des mesures pour compenser, au moins en partie, cette diminution. D’une part, les assurées et assurés peuvent vérifier eux-mêmes si un rachat facultatif permettrait d’augmenter l’avoir de vieillesse disponible. Par ailleurs, effectuer un rachat facultatif présente un autre avantage accessoire : celui-ci peut être déduit des impôts. Les assurées et assurés ayant demandé un versement anticipé pour encouragement à la propriété du logement doivent toutefois rembourser ce versement avant de pouvoir effectuer un tel rachat. Il faut savoir que, durant les trois premières années, un rachat facultatif ne peut être perçu sous forme de capital, mais uniquement sous forme de rente. N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre conseillère ou conseiller à la clientèle, qui vous assistera très volontiers.
Et si, en tant qu’employeur, vous désirez offrir de meilleures conditions d’assurance à votre personnel, nous vous proposons une offre non contraignante. Aujourd’hui, nous recommandons à tous les employeurs d’assurer leurs salariées et salariés non plus seulement à hauteur des cotisations d’épargne obligatoires de 7/10/15/18 % (selon l’âge), mais au moins pour un point de pourcentage de plus, à savoir 8/11/16/19 %. À plus long terme, cela permet d’augmenter l’avoir de vieillesse et donc de minimiser l’impact de la réduction du taux de conversion.
Outre les échelonnements de l’épargne, d’autres possibilités peuvent être explorées, comme celle de choisir une déduction de coordination plus basse, par exemple, ou même de la supprimer entièrement. Et si vous employez de la main d’œuvre à temps partiel, vous pouvez l’assurer mieux en adaptant la déduction de coordination (si toutefois une telle déduction est souhaitée) au moins en fonction du taux d’occupation.
En ce qui concerne les prestations de risque, principalement déterminantes en cas de décès ou d’invalidité, une telle vérification pourrait aussi être judicieuse. En effet, si vous avez assuré les prestations de risque selon un régime de prévoyance professionnelle obligatoire et non au moyen d’un pourcentage fixe du salaire de risque, les prestations sont plutôt basses.
Comme vous pouvez le voir, il peut se révéler bénéfique d’examiner le plan de prévoyance choisi. Là aussi, les spécialistes de la prévoyance répondent volontiers à vos questions.
En visite chez nos clientes et clients
Nous nous déplaçons volontiers chez vous. Il suffit de demander.
Depuis 2021, le directeur et la responsable Prévoyance ont effectué de nombreuses visites auprès des employeurs affiliés. Rendre visite à la clientèle est toujours une bonne opportunité de répondre aux questions directement sur place, de discuter des points encore en suspens ou d’examiner concrètement la situation de prévoyance.
À ce jour, nous nous sommes plutôt rendus chez les gros employeurs. Si nous ne sommes pas venus chez vous et que vous souhaitez ce contact direct en tant qu’employeur, n’hésitez pas à nous le signaler. Nous conviendrons très volontiers d’un rendez-vous.
La CSPUK traite toutes les mutations des employeurs et répond à leurs questions le plus rapidement possible. Plus la collaboration est bonne, plus l’exécution est efficace. C’est pourquoi la CSPUK demande que toutes les mutations (changements de salaire, entrées, sorties) soient communiquées le plus tôt possible à la date de l’événement. L’outil en ligne permet de signaler facilement et rapidement les mutations courantes. Une remise des documents dans les délais a un grand avantage pour tous : les factures sont correctes. Si les mutations sont arrivées tardivement, cela peut avoir pour conséquence que la correction ne sera prise en compte et facturée que sur la facture suivante. Une exécution dans les délais permet également de garantir, au début et à la fin d’un engagement, que les cotisations à déduire du salaire des collaborateurs sont correctes. Merci beaucoup pour votre soutien. Nous sommes à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
Changement de responsable
Fin juin 2022, la conseillère à la clientèle Agnes Gerber quittera la CSPUK, après presque 6 ans d’activité. Agnes Gerber est une collaboratrice très bien formée et dotée d’un grand savoir-faire. Ses renseignements téléphoniques et sa grande disponibilité ont fait d’elle une collaboratrice et une interlocutrice appréciée durant tout ce temps. Agnes Gerber évolue dans son environnement professionnel. Elle restera liée à la prévoyance professionnelle. CoOpera comprend son souhait, la remercie chaleureusement pour l’excellente collaboration au cours des dernières années et lui adresse ses meilleurs vœux pour la suite de sa vie privée comme professionnelle.
La succession de Mme Gerber a déjà pu être trouvée et réglée. Marc Bachofner, qui a déjà renforcé la prévoyance pendant quelques mois en 2019, reprendra le domaine clients et les tâches d’Agnes Gerber. CoOpera se réjouit du retour de Marc Bachofner, qui est lui aussi un spécialiste reconnu de longue date en prévoyance professionnelle, soit en matière d’assurances sociales. Marc Bachofner soutiendra l’équipe CoOpera à partir de juillet 2022.
Quand CoOpera a démarré son activité, en 1985, ses bureaux se trouvaient à Ittigen, dans l’entreprise Maeder Treuhand de Daniel Maeder, dans deux appartements sis Talweg 14. Le déménagement dans l’ancien et adorable Talgut, situé juste à côté, a eu lieu en 2003. Aujourd’hui, celui-ci est devenu trop petit.
Nous serons à nouveau là pour vous dans nos nouveaux locaux dès le 5 septembre 2022.
Point-virgule. Qu’est-ce qui vous lie à CoOpera ? Comment vous êtes-vous trouvés ?
Numa Varley. J’ai fait connaissance avec CoOpera il a y relativement peu de temps. Nous avons été recommandés par le gérant immobilier qui s’occupe de l’objet Galgenfeld 16. CoOpera nous a contactés et nous nous sommes rencontrés pour la première fois.
S: Comment CoOpera et vous avez su que vous alliez bien ensemble ?
NV. Comme toujours lors d’un premier entretien, il est important pour nous de communiquer ouvertement notre approche des projets. Nous tenons beaucoup à ce que les relations humaines soient bonnes et que la confiance puisse être établie. S’il y a des difficultés, les projets peuvent souvent s’avérer pénibles pour toutes les parties concernées. Nous nous sommes sentis bien les uns avec les autres, ce qui s’est confirmé au cours du traitement du projet.
S. Quelle était et quelle est votre tâche ? Quels souhaits, quelles obligations vous a-t-on adressés ?
NV. Notre première tâche a consisté à vérifier si le site de Galgenfeld était adapté au programme des locaux prévu et si les utilisations souhaitées pouvaient coexister sur l’étage. Lorsqu’il est apparu que le projet était réalisable, cela a été très rapide. Un premier atelier a permis de discuter et de clarifier de nombreux sujets. C’est sur cette base que le projet actuel est né. La taille, le type et la répartition des cellules de bureau étaient clairement définis. Outre la répartition fonctionnelle des utilisations, la qualité de l’espace était notre priorité. Du point de vue de l’espace extérieur, l’immeuble de bureaux ne présente pas les mêmes qualités que l’ancien site. C’est pourquoi il était très important d’offrir aux bureaux une haute qualité architecturale intérieure.
S. Qu’est-ce qui vous distingue en tant qu’architecte ?
NV. Il est important pour nous d’établir une coopération fondée sur la confiance. La communication et l’écoute sont des facteurs importants de réussite. Il s’agit également pour nous d’offrir au client la meilleure solution possible, qui soit personnalisée, et de pouvoir ainsi tenir compte de ses besoins dans une large mesure.
L’élaboration de solutions globales cohérentes nécessite souvent plusieurs démarches. Nous y investissons beaucoup de temps et d’énergie, jusqu’à ce que les petits détails soient pris en compte dans l’ensemble du projet.
Nous tenons beaucoup à être en mesure d’encadrer et de piloter le processus de construction et de planification de manière globale. Cette procédure nous permet de garder en tête les premières réflexions et discussions jusqu’à l’exécution finale des travaux de construction et d’exercer notre influence en conséquence.
Au cours des douze dernières années, nous avons pu accompagner différents projets et clients de manière très individuelle. Essentiellement des bâtiments résidentiels. Actuellement, nous gérons aussi l’aménagement intérieur d’un hôtel.
S. Quelle est votre philosophie architecturale ? De manière générale ? Ou en particulier pour le projet Galgenfeld pour et avec CoOpera ?
NV. Nous cherchons nos solutions dans des approches conceptuelles. Le choix des matériaux revêt ici une très grande importance. Nous sommes fermement convaincus que le choix du bon matériau est décisif pour la durabilité d’une solution. L’architecture et les locaux construits sont destinés à être utilisés, c’est pourquoi les matériaux installés doivent pouvoir vieillir. Les surfaces qui vieillissent bien restent belles et attrayantes plus longtemps. Leur durée de vie peut souvent être multipliée, ce qui a un impact positif sur l’utilisation des ressources.
S. À quel niveau fonctionnez-vous comme CoOpera ? Y a-t-il des parallèles ? Où faites-vous contrepoint ?
NV. Nous avons des valeurs fondamentales similaires en termes d’architecture et de construction. La durabilité et la construction écologique sont à la base de nos processus de planification. Elles reposent sur la conviction et non sur des contraintes et des attentes extérieures. Nous n’avons rencontré aucune contradiction dans notre coopération.
S. Comment s’est établie la coopération entre CoOpera et vous ?
N.V. Notre rencontre a plutôt été due au hasard : je connaissais des personnes de l’environnement de CoOpera grâce à mes liens avec l’école Rudolf Steiner d’Ittigen, que j’ai moi-même fréquentée. La demande de CoOpera est arrivée quelques semaines après cette rencontre fortuite.
S. Qu’est-ce qui a été décisif ? Quels étaient les points sur lesquels vous deviez être en accord ?
NV. Avant d’envisager concrètement le genre de projet qui pourrait naître, il était important de s’entendre à un niveau interpersonnel. La première rencontre avec Jürg Hari a été très positive à cet égard. La possibilité d’aménager le nouveau siège de l’entreprise était bien entendu aussi une grosse motivation.
S. Qu’est-ce qui est nouveau sur le site de Berne par rapport au site d’Ittigen ?
NV. L’atmosphère des locaux est nouvelle. Les structures historiques d’Ittigen se distinguent fondamentalement du nouveau site construit en béton, entouré de nombreuses entreprises artisanales et ateliers.
S. Avez-vous dû modifier considérablement les locaux ? Voire l’immeuble ?
NV. Nous avons très tôt constaté que les installations existantes ne correspondaient pas aux besoins et aux idées de conception. Il a été décidé de ramener tout l’étage à l’état du gros œuvre pour faire place à un nouvel aménagement intérieur.
S. Qu’est-ce qui a changé ? Qu’est-ce qui a pu rester identique ?
NV. Nous avons dû conserver la structure de base de l’immeuble. Le noyau central appartient à la collectivité et reste intact, de même que la façade. Seuls quelques éléments ont été conservés dans la surface même des bureaux, comme le canal d’allège qui alimente les nouveaux bureaux en électricité et en informatique.
S. Qu’est-ce qui caractérise le nouveau site ? Des atouts ? Des défis ?
NV. Il s’agit d’une excellente occasion de redéfinir le programme des locaux et les besoins avec peu de restrictions sur une surface vide. Une possibilité qu’un bâtiment historique comme celui d’Ittigen n’offrait pas. L’enjeu est donc d’élaborer un concept qui soit cohérent en soi, qui réponde au mieux aux besoins et qui raconte une histoire en relation directe avec l’utilisateur.
S. Y a-t-il des particularités en ce qui concerne les processus de CoOpera ? Matériaux ? Durabilité ? Régionalité ? Partenaires ?
NV. Dès le départ, la disposition des postes de travail et des différents secteurs d’activité a été importante. Des processus d’exploitation optimaux permettent un travail efficace. L’aménagement des locaux a une influence directe sur le bien-être des collaborateurs. Grâce aux valeurs défendues par CoOpera, l’aménagement intérieur a été réalisé en grande partie avec des matériaux et des produits naturels et durables. Et la dimension régionale a également été prise en compte.
Q. Quel était le calendrier ?
NV. Au départ, une période relativement courte était prévue pour la planification et la transformation. Il s’est avéré que ces étapes prenaient plus de temps. Lors de la mise en œuvre, nous avons également subi la situation tendue du marché. La disponibilité des produits et des matériaux devait d’abord être garantie. Un an s’est écoulé entre la première visite sur le nouveau site et l’emménagement.
S. Quels étaient les limites de coûts imposées par CoOpera ? Avez-vous pu en tirer pleinement profit ?
NV. Un budget a été établi très tôt sur la base des premières idées du projet. Nous nous sommes basés sur ce budget jusqu’à la fin et nous avons pu respecter le cadre de coûts, à l’exception de légères modifications ou de commandes supplémentaires. Avec l’argent promis, nous avons pu mettre en œuvre beaucoup de ce que nous avions prévu. Compte tenu du cadre budgétaire fixé, nous avons été incités à optimiser les coûts et à rechercher des solutions. Nous disposions d’un bon budget, comme le montre le résultat.
S. Y a-t-il eu des particularités à prendre en compte ? Voire des surprises lors de la construction ?
NV. Quand on construit, on a toujours des surprises. Mais je ne me souviens pas en avoir connu de mauvaises, qui auraient fondamentalement remis en cause les décisions, les solutions ou le projet.
S. Quel a été le choix des matériaux : matériaux de construction naturels, à faibles émissions, recyclés, fibres de bois, autres ?
NV. Dans la mesure du possible, nous avons utilisé des matériaux de construction naturels et recyclés, tels que du bois de chêne pour les cloisons, les revêtements et le sol, et des éléments acoustiques en matériaux entièrement recyclés. Pour les surfaces des armoires encastrées, nous avons opté pour un revêtement par poudre sans solvant. Les surfaces murales ont été réalisées avec des produits naturels à base de chaux. Pour les peintures, nous avons également utilisé des produits composés en grande partie d’ingrédients naturels.
S. Y a-t-il eu (aussi) des conditions, des souhaits de CoOpera ?
NV. Au départ, CoOpera a clairement fait savoir qu’elle souhaitait une transformation avec des matériaux et des produits naturels. Il était important pour elle de réaliser une transformation durable et de qualité, tout en gardant un œil sur le budget, y compris dans sa responsabilité vis-à-vis de ses assurés qui, en fin de compte, soutiennent l’entreprise CoOpera.
S. Quels sont les défis particuliers posés par les difficultés de livraison dans la construction ?
NV. L’approvisionnement en matériaux a été un défi de taille, parfois on ne savait pas si le sol commandé pouvait être produit en raison du conflit en Ukraine. D’une manière générale, l’énorme évolution des prix dans le secteur de la construction a constitué un défi qui restera sans doute très marqué pour les futurs projets de construction.
S. Nous vous remercions pour cet entretien.
Pendant toutes ces années de croissance rapide, Bio Company est restée fidèle à ses principes. Elle est respectueuse de l’environnement et accorde une attention particulière à la création de valeur régionale, à un assortiment durable, à la réduction de l’énergie et des déchets, à l’engagement social et à la qualité de l’emploi.
La voie durable n’est pas une promenade de santé. Les investissements initiaux dans de nouveaux systèmes sont élevés. Changer les habitudes prend du temps. Parfois, il n’existe tout simplement pas encore de solution. Bio Company essaye alors d’en développer une par elle-même. Ou elle s’implique dans des initiatives existantes, telles que « Too Good to go » ou « Ensemble contre les toxines des terres arables », etc.
Le rapport de développement durable de Bio Company
Le rapport le montre : avec ses fabricants, ses clients, ses collaborateurs et partenaires engagés, Bio Company réussit de manière impressionnante à être durable et à agir. En effet, si l’on respecte déjà l’environnement à tous les niveaux, on trouve toujours de nouveaux paramètres à réajuster en matière de durabilité.
Ce n’est pas pour rien que la créativité est l’une des valeurs les plus importantes de Bio Company. Ils aiment sortir des sentiers battus : les sources d’inspiration novatrices, l’ouverture à la nouveauté et les dernières connaissances acquises depuis plus de deux décennies sont leurs meilleurs outils. Cela se traduit dans les chiffres. Aujourd’hui, Bio Company compte 63 marchés répartis sur quatre sites et plus de 300 000 clients par semaine. Le nombre de collaborateurs au 1er mai 2022 s’élevait à 1689. Le chiffre d’affaires se montait à 239.6 millions d’euros en 2021.
Tous mettent leur personnalité naturelle et leurs aptitudes individuelles au service de la réussite de leur travail. Ils font preuve d’ouverture et d’honnêteté dans leurs rapports mutuels et considèrent la diversité comme un enrichissement. Exactement dans l’esprit des principes de Bio Company.
De la théorie à la pratique
Bio Company est garante d’aliments biologiques de haute qualité. L’organisation s’implique dans la région ; ses partenaires, ses fournisseurs et ses clients pensent et agissent comme elle. Et cela se sent. L’engagement dans le service, les produits et les chaînes d’approvisionnement se répercute sur la clientèle et conduit à des expériences d’achat modernes. Pour le bonheur de tous. Les maximes de base de Bio Company y contribuent également.
Le comité d’entreprise de Bio Company défend les intérêts des collaborateurs. Il veille au respect des réglementations légales, aux intérêts collectifs du personnel ainsi qu’aux problèmes individuels des collaborateurs.
Coopération et engagement diversifié
Éviter le gaspillage alimentaire a toujours été une préoccupation de l’entreprise. Dans les supermarchés Bio Company, les clientes et les clients reçoivent un large assortiment de produits frais. Bio Company distribue entre autres aux sauveteurs alimentaires de l’initiative « Partage alimentaire » des produits qui ne peuvent plus être vendus, mais qui sont toujours propres à la consommation. Bio Company participe également à « Too Good To Go », l’application qui permet de sauver de la nourriture.
Avec l’application « Too Good To Go », les aliments qui n’ont pas été vendus à la fin de la journée sont proposés à un prix avantageux. Ainsi, ils peuvent être sauvés de la poubelle. Il s’agit ainsi de différents sacs surprises – avec des produits de boulangerie et des snacks. Les sacs sont réservés dans le supermarché Bio Company le plus proche via l’application puis payés et retirés avec le justificatif d’achat numérique dans le supermarché respectif. Un bel exemple de l’attitude avant-gardiste de Bio Company pour offrir une plus-value à ses clients dans le respect des ressources et de l’environnement.
D’autres exemples contemporains qui apportent beaucoup à l’environnement.
Depuis plusieurs années, Bio Company n’a plus de gobelets jetables pour boissons chaudes. Si vous souhaitez emporter votre boisson, deux possibilités s’offrent à vous : apporter votre propre gobelet réutilisable ou louer une « récup » pour 1 € puis la rendre dans l’un des plus de 450 cafés ou supermarchés participants à Berlin, Hambourg et Dresde. La récup est un gobelet consigné réutilisable qui peut remplacer environ 500 gobelets jetables. Elle possède aussi un couvercle. Elle est toutefois achetée et reste en possession de l’acheteuse ou l’acheteur pour des raisons d’hygiène.
Les multiples engagements de Bio Company, par exemple contre l’abattage des poussins par des actions concrètes, ainsi que les mesures contre les toxines agricoles peuvent être consultés de manière détaillée sur le site https://www.biocompany.de. Les actions régulières de Noël et les campagnes de dons ciblées nées de la détresse sont également impressionnantes.
L’engagement des collaborateurs de plus de 50 nations est conséquent et se traduit par une grande satisfaction au travail. Les collaborateurs apprécient particulièrement l’activité constructive et durable ainsi que la tolérance mutuelle et la diversité de Bio Company. L’identification à l’entreprise est considérée par plus de 80 % du personnel comme bonne à très bonne et l’offre de formation et de perfectionnement obtient également d’excellentes notes.
Bio Development se réjouit d’avoir trouvé en Bio Company un partenaire bien établi en Allemagne. CoOpera, l’un des trois actionnaires de Bio Development AG, partage cette joie avec grand plaisir.
Dans le prochain point-virgule, nous vous présentons l’abonnement légumes NOVUM - Das Gemüseabo GmbH.
De l’or pour la campagne « Achetez moins »
L’alliance pour un comportement favorable au climat (Bündnis für Klima-Positives Verhalten) a décerné à Bio Company le prix Marketing for Future Award à l’échelle de l’Allemagne. Avec la campagne « ACHETEZ MOINS », Bio Company a remporté la médaille d’or dans la catégorie « Start small, but start. » Elle a su convaincre le jury grâce à une « Authenticité absolut », une « Honnêteté désarmante », une « Véritable empathie » et des « Lignes claires ».
« C’est courageux d’encourager ses clients à acheter moins – et donc de torpiller son propre modèle d’entreprise. Et cela a un impact concret : la prévention du gaspillage et la réduction de la consommation » , explique le jury.
Plus d’informations dans cette vidéo : https://youtu.be/DvGf_awg4yc
L’application (icône) « CoOpera » est dès à présent disponible dans l’App Store pour Apple et dans le Play Store pour Android. Vous disposez donc dorénavant des mêmes possibilités de consultation et de simulation sur vos appareils mobiles que sur l’outil en ligne. Si vous vous êtes déjà en-registré(e) sur l’outil en ligne, vous pouvez utiliser les mêmes données de connexion pour l’application. Si, en revanche, vous n’avez pas encore procédé à l’enregistrement, vous pouvez le faire à présent directement sur l’outil en ligne ou dans l’application à l’aide du code d’activation in-diqué dans votre certificat de prévoyance. Vos informations personnelles concernant la prévoyance professionnelle sont ainsi en tout temps à votre disposition. Essayez, cela en vaut la peine !
Séminaires sur les départs à la retraite en allemand et en français.
En 2022 également, nous proposons à nos assuré(e)s à partir de 50 ans des séminaires sur les départs à la retraite. Deux dates sont déjà connues pour des séminaires organisés en langue allemande à Berne et à Olten. Il s’agit, pour Berne, de la matinée du mercredi 18 mai 2022 et, pour Olten, de la matinée du mercredi 7 septembre 2022. Toutes les personnes assu-rées auprès de CoOpera Fondation collective PUK et âgées de 50 ans et plus recevront une lettre qui leur sera adressée personnellement. Le sé-minaire traitera du 1er, du 2e et du 3e pilier (AVS/LPP/pilier 3a). Les ins-criptions envoyées à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. sont d’ores et déjà ac-ceptées.
Le séminaire sur les départs à la retraite donné en français pour nos as-suré(e)s à partir de 50 ans se tiendra la matinée du mercredi 21 septembre 2022 à Fribourg. Dans ce cas également, les assuré(e)s recevront une lettre qui leur sera adressée personnellement, mais peuvent déjà s’inscrire à l’adresse Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Exploiter de manière durable son propre magasin bio s’avère rapidement être un défi de taille. Bio Partner partage en toute simplicité ses connais-sances et son expérience pour tenir un commerce avec ses partenaires et clients, afin que toutes et tous en profitent.
Le programme Renaissance, qui possède aujourd’hui quinze magasins et accompagne plusieurs entrepreneurs indépendants, a fait ses preuves. Dans l’organisation, il fait désormais partie des outils stratégiques per-manents et est devenu la branche « développement des sites ».
Des normes bio très exigeantes, du champ à l’assiette
Que faut-il pour que tous les acteurs de la chaîne de création de valeur soient gagnants à long terme ? Des partenariats sincères, du champ à l’assiette en passant par les rayons des magasins. C’est d’autant plus vrai pour l’agriculture et la production alimentaire, qui ont besoin de dé-bouchés stables pour prospérer durablement. Bio Partner promeut les normes bio les plus strictes pour les consommateurs, qui valorisent et soutiennent des aliments sains, une production respectueuse, de la di-versité et des commerces régionaux.
Bio Partner a surtout misé sur les denrées suisses, si possible biodyna-miques, et a fait des produits frais de véritables générateurs d’affluence.
Le coronavirus et les autres facteurs
Ces deux dernières années, Bio Partner et les magasins spécialisés ont su tirer leur épingle du jeu malgré la pandémie. Nos petites boutiques ont rassuré la clientèle et sont devenues des lieux de rencontres person-nelles. En 2021, nous avons à nouveau constaté une hausse par rapport à l’année 2020, qui était déjà exceptionnelle. Cette croissance ne change toutefois rien à la diminution de notre part de marché face aux deux géants de la distribution.
Fin 2021, le département « commerce des matières premières » a quitté la structure de Bio Partner et rejoint Biodina SA, une nouvelle entreprise.
Son siège et son centre logistique se trouvent à Seon, au cœur de la Suisse, d’où Bio Partner livre sa clientèle dans toutes les régions linguis-tiques. Parallèlement à la croissance de ses magasins en 2021, l’organi-sation a donc augmenté ses effectifs d’un quart. Aujourd’hui, elle em-ploie quelque 400 personnes dans divers domaines, par exemple le service client, la gestion de produits, la logistique, le marketing ou le commerce de détail.
Bio Partner conseille et accompagne des enseignes spécialisées et ex-ploite ses propres boutiques bio tout en effectuant les contrôles de qua-lité, de certification et de développement durable requis par la loi.
«Notre implication dans l’économie réelle prend tout son sens avec notre engagement aux côtés de Bio Partner Schweiz AG. Nous contribuons à promouvoir l’agriculture et la consommation responsables au bénéfice de tous. Le verbe « vivre » est aussi utilisé comme nom pour désigner de la nourriture, des « vivres ».
L’un et l’autre sont liés. CoOpera s’inscrit dans cette dynamique à plusieurs niveaux : par son engagement auprès de Biomilk AG et de Bio Development AG
et par son engagement direct auprès de de Bio Partner Schweiz AG. »
Märk Lüthi, président du conseil d’administration de Bio Partner Schweiz AG
Les montants limites restent inchangés pour l’année 2022 également
Nous les rappelons ici à toutes fins utiles :
Seuil d’entrée 21 510
Déduction de coordination 25 095
Limite supérieure du salaire annuel 86 040
Salaire coordonné max. 60 945
Rachat max. pilier 3a 6883
Règlement de prévoyance à partir du 1er janvier 2022
Le règlement de prévoyance est précisé en ce qui concerne l’art. 8b) Assurance facultative après résiliation des rapports de travail par l’employeur (art. 47a LPP).
Au niveau fédéral, le nouveau système de rentes non échelonnées pour les prestations d’invalidité entrera en vigueur le 1er janvier 2022. Ce nouveau système entraînera d’autres révisions de notre règlement de prévoyance. Nous vous fournirons des informations détaillées à ce sujet avec l’envoi du nouveau certificat de prévoyance (vers la fin février 2022). Le nouveau système de rentes non échelonnées devrait fournir des règles claires pour le calcul du degré d’invalidité. Afin de créer une incitation à exercer une activité lucrative partielle, ce système non échelonné sera introduit pour les nouvelles rentes. La rente entière reste inchangée et sera toujours octroyée à partir d’un degré d’invalidité de 70 %.
Le règlement de prévoyance bénéficiera aussi d’une nouvelle mise en page à partir du 1er janvier 2022 afin de le rendre plus agréable à consulter.
Taux minimum LPP
Le Conseil fédéral a décidé de maintenir le taux minimum à 1 % en 2022.
Nouvelle version de l’outil en ligne
L’outil en ligne a été remanié pour être plus convivial pour les employeurs et les assurés. Tous les employeurs et indépendants ont reçu avec les informations de clôture annuelle un dépliant résumant les nouveautés. Les assurés recevront quant à eux des informations correspondantes en même temps que leur nouveau certificat de prévoyance, fin février 2022. Après notre clôture annuelle interne et le changement de système correspondant, les employeurs et les assurés/bénéficiaires de rentes devraient avoir accès à la nouvelle version à partir du lundi 17 janvier 2022. En raison des travaux de fin d’année et du changement, le système sera indisponible du mardi 11 janvier 2022 à midi au dimanche 16 janvier 2022 au soir. Nous sommes fiers de continuer à vous proposer un outil simple à utiliser et qui vous facilite grandement la tâche dans votre travail quotidien.
Nouvelle conseillère à la clientèle
Andres Urben, conseiller à la clientèle, a quitté CoOpera fin août. Nous le remercions vivement pour les services qu’il nous a rendus.
Depuis le 1er octobre 2021, nous avons du renfort en matière de prévoyance. Nous avons en effet engagé Adriana Mezzi, une spécialiste expérimentée en prévoyance professionnelle. Mme Mezzi parle allemand, français et italien. Elle a une connaissance approfondie des assurances sociales et a décroché à Olten le diplôme de spécialiste en prévoyance professionnelle. Mme Mezzi va reprendre un portefeuille de clients aussi bien dans le domaine actif que pour les cas de prestations. Nous souhaitons une cordiale bienvenue à Mme Mezzi au sein de CoOpera et nous réjouissons de notre collaboration.
Horaires à Noël / Nouvel An
Notre centrale téléphonique sera fermée du jeudi 23 décembre 2021, 16 h 30, au dimanche 2 janvier 2022.
Nos bureaux rouvriront le 3 janvier 2022. Nous vous souhaitons d’ores et déjà, à vous et à vos proches, un joyeux Noël et une bonne année.
Nous tenons à remercier sincèrement tous nos partenaires pour leur bonne et agréable collaboration.
À titre de gestion associative, Bio Development AG s’engage à ce que tous les acteurs de la chaîne de création de valeur agricole soient rémunérés pour leurs prestations de manière à ce qu’ils puissent produire ensemble des denrées durables et les plus naturelles possible. Dotée d’un solide sens de la communauté, son but est de promouvoir et de mettre en réseau les entreprises bio indépendantes et produisant de la valeur.
Filiation avec CoOpera
Bio Development AG est née d’une initiative de CoOpera, qui soutient depuis longtemps déjà des projets bio. La société consolide et favorise la demande en denrées biologiques et biodynamiques. Elle soutient la demande et le commerce en Suisse, en Allemagne et en Italie, par des conseils, de l’aide, des moyens et une mise en réseau.
De la sorte, la demande en produits authentiques et de haute qualité, qui sont servis avec le sourire par des agricultrices et agriculteurs motivés, augmente. La biodynamie est à cet égard le fil conducteur, sans pour autant « exclure les autres ». L’engagement global est source de renforcement et constitue à son tour un moteur.
Plus que de simples mots. Telle est la devise de Bio Development AG
Bio Development AG est composée d’actionnaires et d’entreprises partenaires dont les valeurs concordent au plus haut point. En font partie :
En Suisse
En Allemagne
En Italie
Le conseil d’administration comprend, outre le président Markus Lüthi, Niklaus Schär, Marco Arduini et Ernst Schütz. Les actionnaires sont CoOpera Fondation collective PUK, BioBerenice S.r.L. à Milan et Concolor AG à Bâle. Regroupées sous la marque Bio Development AG, elles forment ensemble un vaste réseau aux mailles solides.
Le président de Bio Development AG, Markus Lüthi, trouve les mots justes : authentique, associatif, fédéraliste et subsidiaire. Tant à l’échelon européen que régional. Voici comment réfléchit et agit Bio Development AG. Un choix osé, car la plupart des concurrents sont organisés et opèrent en entreprise. De nombreux projets ont été concrétisés ces cinq dernières années. Et ce, alors que les défis à relever n’ont pas manqué. Cette réussite est surtout due aux relations personnelles entretenues avec les entreprises partenaires, associées à des connaissances et aptitudes spécialisées et entrepreneuriales, à la mise en réseau ainsi qu’au transfert ciblé de moyens et de connaissances entre Bio Development AG et ses entreprises partenaires.
Avec soin et attention
Aujourd’hui, Bio Development AG dispose d’une solide base commune. La société fonctionnant exclusivement avec des fonds propres, la proximité et l’implication des actionnaires et des délégués revêt une grande importance. Le dialogue est un élément-clé, avec des rencontres annuelles intensives entre les actionnaires et le conseil d’administration, ainsi qu’avec les cadres dirigeants des sociétés opérationnelles.
Pendant la pandémie, le chiffre d’affaires cumulé a franchi pour la première fois la barre du milliard de francs. Mais maintenir l’équilibre entre ce que le sol produit avec soin et les habitudes d’achat des consommateurs et consommatrices est une gageure permanente. À grande échelle ou plus modestement.
Découvrez-en davantage à ce sujet dans la partie 2 de notre série sur le précieux travail de Bio Development AG.
De retour sous de nouveaux atours
Tant mieux pour le Ziegelhof et tant mieux pour Liestal. Les conditions étaient favorables pour qu’une ancienne activité artisanale y reprenne vie sous de nouveaux atours. Sous la forme d’une brasserie de taille modeste, mais de qualité. Comme cela a été constaté au cours de la conférence de presse virtuelle de Unser Bier, l’entreprise est un vivier pour l’esprit d’entreprise, la diversité des idées et la force créatrice.
Sur place, CoOpera a veillé avec l’équipe de planification à ce que la production puisse démarrer dans les temps malgré d’importants défis sur le plan architectural (notamment la hauteur sous plafond de 3 mètres). La première cuve a été remplie avec succès à la mi-novembre.
Brasser une bonne bière est un art. Unser Bier a déjà prouvé qu’elle savait y faire. Mais mieux vaut ne pas se reposer sur ses lauriers. Un vent nouveau souffle donc ces jours sur le Ziegelhof. Dans l’esprit de CoOpera, Unser Bier produit au Ziegelhof des bières spéciales dans les règles de l’art. D’après ce qui a été dit lors de la conférence de presse, la brasserie devrait également proposer des spiritueux.
Unser Bier brasse notre bière
Depuis sa création en 1997, Unser Bier AG est sise à Bâle. Elle est principalement en mains de Bâle-Campagne. L’entreprise a investi 1,5 million de francs dans le Ziegelhof. Son succès profite au Ziegelhof, à Liestal et à Bâle-Campagne. Les bières standard, les diverses sortes de bières, les bières spéciales et les raretés brassicoles nécessitaient de nouvelles capacités de brassage. Certaines spécialités sont entreposées à plus long terme dans des fûts de chêne. Il faut donc de la place, et le Ziegelhof en dispose.
À Liestal, ce sont surtout les deux sortes de bières comprises sous le terme à la mode de « craft » qui sont brassées. Pour cela, une installation de 10 hectolitres avec cuves de fermentation et de conservation a été aménagée pour une production annuelle de 1000 hectolitres. La brasserie, qui dispose de sa propre installation d’embouteillage, sera placée à l’endroit où, par le passé, avait lieu le transbordement des bières du Ziegelhof. Le site est idéal pour les livraisons à l’arrivée et au départ. L’idée est aussi qu’une distillerie amie place un alambic dans la brasserie afin de produire un whisky à partir de la trempe de Unser Bier.
Grâce à l’engagement de CoOpera et à ses liens avec Unser Bier, le canton de Bâle-Campagne a désormais à nouveau sa propre brasserie. Une double raison de se réjouir après la fermeture de la brasserie Farnsburg à Sissach. Unser Bier est de plus brassée à partir de matières premières de la région. Voilà qui valorise les efforts de la nouvelle communauté d’intérêts IG Juramalz, qui vise à promouvoir la culture de l’orge de brassage dans la région.
Unser Bier est une brasserie bio des deux Bâle
Sur les 10 180 actionnaires actuels, 4800 sont situés dans le canton de Bâle-Campagne (dont 100 à Liestal), alors que seuls 3700 résident à Bâle. Un sondage représentatif auprès de l’actionnariat a révélé que 72 % étaient d’avis que le principe de « production locale pour une consommation locale » ne devait pas être compris de manière restrictive à Bâle et que Unser Bier pouvait tout à fait être une brasserie des deux Bâle. Grâce aux investissements de CoOpera, des autorités locales et du bureau de construction in situ, le projet a pu être réalisé dans des temps records.
Il est également appréciable que l’entreprise brassicole bio ait réussi à réaliser des innovations en matière de durabilité. Un exemple pour conclure : la drêche de malt est placée dans des récipients après le brassage, qui sont disposés sur la rampe (plusieurs fois par semaine à midi) pour enlèvement. Les récipients sont récupérés l’après-midi par un agriculteur de la région, qui utilise la drêche pour nourrir ses animaux de rente. La drêche est en effet un aliment prisé pour les vaches, mais aussi pour les porcs.
Dans tous les cas, merci de bien vouloir remplir au préalable le questionnaire de rachat et de nous le soumettre. Cela garantit que le montant peut être comptabilisé à temps et que vous recevrez le certificat fiscal pour 2021.
Au cours de mes études (mathématiques et physique), j’ai sans cesse été confronté à la nécessité de différencier théorie et pratique et d’intégrer les éléments de la vie qui ne sont pas pris en compte par le modèle.
Contribuer à financer des projets qui seront utiles à l’être humain : cette vision me tient à cœur et je m’y consacre depuis plus de dix ans maintenant dans mon activité de conseiller en crédit auprès de la Freie Gemeinschaftsbank à Bâle.
Rejoindre le Conseil de fondation de CoOpera Fondation collective PUK me permet désormais de lier ces deux aspects et de les approfondir.
Je me réjouis d’ores et déjà de notre collaboration fructueuse.
Le nouvel ancien arsenal de Winterthour est un succès. Il a la substance qu’il faut pour en faire une oasis économique, écologique et culturelle. Un projet que CoOpera Fondation collective PUK a rendu possible. « Sans l’aide de CoOpera, nous n’aurions pu financer qu’une transformation partielle », explique Marco Frei de Basis Winterthur GmbH, l’exploitante de l’arsenal.
Autrefois place d’armes, aujourd’hui biotope culturel
BASIS Winterthur GmbH – une société à but non lucratif – a pu reprendre en 2017 l’ancien bâtiment militaire Zeughaus1 en droit de superficie de la ville de Winterthour, dans l’intention d’en faire un lieu plein de vie, avec une brochette de locataires et exploitants de tous horizons, qui suivent des concepts innovants.
Dans le choix de ces différents partenaires, le critère déterminant était que les institutions participant au projet aient une approche respectueuse des personnes, du matériel, des ressources et des systèmes. Les petites et moyennes entreprises qui présentent des structures transparentes et pratiquent l’intégration sociale ont été privilégiées et motivées à concevoir leurs produits et services dans le souci de la durabilité. Des événements inspirants et des conseils personnalisés contribuent à augmenter la qualité globale.
Le site sera accessible au public et permettra aussi bien une exploitation respectueuse qu’un mouvement de ralentissement, tout en laissant de la place à la créativité et à l’échange. De par sa diversité, le site de l’arsenal devient un projet phare pionnier pour ce quartier et la ville de Winterthour.
Évolution dynamique et mixité fascinante.
Dans son atelier de capitonnage du nouvel ancien artisanal, l’artisane restaure les meubles favoris de sa clientèle. Dans un souci de durabilité, de préservation de valeur, avec dévotion et respect du style personnel. Elle rempaille, recouvre, canne et répare, comblant ainsi une réelle lacune sur le marché. Juste à côté, Elie Vanvlasselaer partage son atelier de réparation devélos avec Pascal Vogel, le « réparateur » : d’un côté de la pièce tout en longueur, des vélos de course des années 1950 à 1980 ramenés à une nouvelle jeunesse sont suspendus au plafond et aux murs et, plus au fond, se trouvent des amplis et magnétos de la marque traditionnelle Revox. L’atelier de danse-théâtre Heidi J.M est aussi locataire des lieux. Roth et le Esse Musicbar.
Un illustrateur et un graphiste ont aussi emménagé dans leurs nouveaux bureaux. « La mixité des locataires est très large », explique Marco Frei, membre de la direction de Basis Winterthur. En dépit des bouleversements liés à la pandémie, le Zeughaus1 est désormais entièrement loué. Tout comme les derniers espaces de rencontre, où s’installera à partir du 1er novembre 2021 la coopérative Bio Bistro, et qui feront la part belle à la restauration et la culture. Très clairement, l’arsenal est « a place to be » à Wintli.
Plus d’informations sur le projet sur www.zeughaus1.ch.
Nous vous souhaitons bien du plaisir à suivre ce documentaire qui clôt notre petite série sur le lait bio.
Cliquez-ici pour voire le film: Portrait de la ferme Demeter Oberholz
Daniel Maeder s’est engagé de tout son être. Dans l’adversité, il a cherché et trouvé des synergies en s’associant à d’autres. Son talent pour dénicher des solutions originales et sociales correspond tout à fait à sa devise : « Vivre dans l’amour de l’agir et laisser vivre dans la compréhension du vouloir d’autrui est la maxime fondamentale des hommes libres » (Rudolf Steiner, La Philosophie de la liberté).
Il n’a jamais cessé de croire en la bonté des êtres humains. Des personnes qui évoluent vers la liberté et qui, avec discernement et une bonne volonté courageuse, assument une part toujours plus importante de responsabilité pour leurs semblables et l’environnement. Et agissent en conséquence.
Même s’il est désormais à la retraite, Daniel Maeder continue ses activités de consultant, notamment pour CoOpera Beteiligungen AG, CoOpera Leasing AG, la fondation Stiftung zur Förderung assoziativen Wirtschaftens (FAW) et le Rüttihubelbad.
Un grand merci.
Nous rendons un hommage plus détaillé aux activités remarquables de Daniel Maeder dans d’autres textes.
Tous les collaborateurs du secrétariat de CoOpera remercient chaleureusement Daniel Maeder pour ses nombreuses années de travail assidu ainsi que pour ses actions et élans sociaux visionnaires. À lui et à Rachel Maeder, son épouse, nous souhaitons de longues années de santé et de bonheur.
Markus Wegmüller et l’art de bien vivre
En milieu d’année, un autre collaborateur de CoOpera a également troqué sa chaise de bureau pour une chaise longue, ou plutôt pris une retraite tout à fait méritée. Markus Wegmüller rejoint en 1998 le petit secrétariat de CoOpera au Talweg 14 à Ittigen. Il s’occupe des placements, des relations avec les créditeurs, du secrétariat du Conseil de fondation, du comité des placements et des bâtiments du secrétariat. Il fait aussi partie des membres de la direction pendant plusieurs années. On peut par ailleurs toujours compter sur lui pour organiser des événements créatifs entre collègues.
Père de quatre enfants, conducteur de Vespa et nageur passionné, il a depuis toujours à cœur de protéger la nature et l’environnement. Un engagement qu’il concrétise dans ses actions. Depuis des dizaines d’années, il s’intéresse aussi de très près aux questions anthroposophiques et sociales.
Tous les collaborateurs du secrétariat de CoOpera remercient chaleureusement Markus Wegmüller pour ses longues années d’engagement et sa constance (pratiquement sans jamais s’absenter). Aux côtés de ses petits-enfants, de ses enfants et de son épouse, nous espérons qu’il restera fidèle à ces mots empruntés à Pablo Picasso : « Dans chaque enfant il y a un artiste. Le problème est de savoir comment rester un artiste en grandissant. » Nous lui transmettons nos meilleur vœux pour la suite de l’aventure: santé, promenades en forêt rafraîchissantes et beaucoup de joie de vivre !
Il est probable que vous, chère lectrice, cher lecteur, croisiez le chemin de Daniel Maeder et Markus Wegmüller à une assemblée des délégués ou à une séance de CoOpera Arbeitsgemeinschaft.
Au nom de l’équipe CoOpera : Ueli Bühler
Aujourd’hui, l’électricité photovoltaïque provient encore majoritairement de systèmes installés sur des toitures. HORIZON permet d’utiliser un potentiel jusqu’alors inexploité. Cette structure flexible et très esthétique peut en effet être installée de manière ciblée sur des sites industriels, des centres logistiques ou des parkings existants.
Des avantages hors pair
Le double emploi d’HORIZON convainc sur toute la ligne et constitue un bond en avant pour l’industrie solaire. La légèreté du toit solaire pliant ainsi que sa structure porteuse composée de câbles permettent d’espacer les poteaux et offrent une belle hauteur. La surface au sol reste alors entièrement exploitable. Grâce à son système de câbles et à un mécanisme breveté par dhp, le toit solaire peut se plier afin d’être protégé de la grêle, du vent et de la neige. Ainsi, il peut aussi produire de l’électricité en hiver, même dans les régions enneigées. Un atout unique en termes de protection du paysage et de rentabilité.
Gian Andri Diem et Andreas Hügli ont fondé dhp technology AG en 2015. Diverses récompenses, dont le Watt d’Or et le Prix Solaire Suisse, soulignent le caractère avant-gardiste de ce toit solaire pliant.
Une idée esthétique qui fonctionne avec un double emploi des surfaces
Gian Andri Diem : Notre espace de vie ne cesse de se densifier. Il est difficile de construire des fermes solaires dans beaucoup de régions européennes. Nous souhaitons proposer une solution, une manière de produire de l’électricité renouvelable en minimisant l’empreinte au sol et dans l’espace. Grâce à notre système, nous exploitons des surfaces pour produire de l’électricité solaire sans entraver leur usage premier. Les installations conventionnelles n’offrent pas cette possibilité. Tout juste deux ans après la création de notre entreprise, nous avons lancé un projet pilote et construit un toit solaire pliant sur la station d’épuration de Coire.
Quels obstacles avez-vous rencontrés ?
Gian Andri Diem : Le lancement d’une innovation est toujours un défi. Personne ne connaît les applications et il n’y a pas encore de retour d’expérience. Il faut beaucoup de passion, d’enthousiasme, de constance et d’efforts pour convaincre les premiers investisseurs, partenaires et clients. Heureusement, nous avons reçu de nombreux avis positifs. Nous avons persuadé IBC Energie Wasser Chur, le principal fournisseur d’énergie régional, ainsi que la ville de Coire d’accueillir un projet pilote. Sans ce premier pas, nous ne serions pas arrivés aussi loin.
Andreas Hügli : Le développement de la technologie a aussi apporté son lot de défis captivants, car différentes disciplines s’entremêlent. À ce jour, huit projets sont exploités en Suisse. Trente autres toits solaires pliants, dont trois en Allemagne, sont à divers stades de planification ou de construction.
Dans quels cas un toit solaire pliant est-il intéressant ?
Andreas Hügli : Pour qu’un projet soit économiquement viable, il faut une surface d’au moins 1000 m2. Notre toit solaire pliant convient à des sites industriels, par exemple des usines de traitement des eaux usées. Il s’agit d’excellentes candidates, car elles figurent parmi les infrastructures communales les plus gourmandes en électricité. Grâce au toit solaire pliant, les stations d’épuration peuvent améliorer leur efficacité énergétique et produire sur place une partie du courant électrique nécessaire à leur fonctionnement. L’installation de Coire produit quelque 550 000 kWh par an, soit environ 20 % des besoins du site.
Gian Andri Diem : Notre deuxième catégorie de clients regroupe les exploitants des grands parkings. Avec l’essor de la mobilité électrique, nous voyons là un très grand potentiel. En associant une installation de recharge au toit solaire pliant, nous transformons une surface asphaltée en station électrique pour véhicules privés et utilitaires. L’année dernière, nous avons réalisé, en collaboration avec SAK St. Gallisch-Appenzellische Kraftwerke AG, le premier projet de ce genre sur le parking des remontées mécaniques du Kronberg en Appenzell.
Quels sont les avantages par rapport aux autres abris pour voitures ?
Gian Andri Diem : Le toit solaire pliant assure vraiment un double emploi. Il couvre toute la surface, y compris les voies de circulation, avec des panneaux solaires tout en garantissant l’accès à tous les véhicules, et même aux semi-remorques. De plus, les allées restent accessibles aux chasse-neige par exemple. Grâce au mécanisme de rétractation, la neige n’entrave pas le fonctionnement des modules solaires en hiver, un point important pour les remontées mécaniques justement. La production d’électricité reprend dès les premiers rayons du soleil, soit lorsque les amateurs de sports d’hiver viennent à la montagne.
En une phrase, quel aspect de votre toit solaire pliant vous plaît le plus ?
Gian Andri Diem : L’association d’une technologie de pointe et d’un design élégant...
Andreas Hügli : ... et cette possibilité nouvelle de produire sa propre électricité de manière rentable sur des infrastructures, notamment en y associant des points de charge pour véhicules électriques légers et lourds.
Nous remercions Gian Andri Diem et Andreas Hügli pour cet entretien.
Pour conclure, quelques mots de Märk Lüthi qui explique l’intérêt de CoOpera Beteiligungen AG pour ce projet : dhp et ses collaborateurs s’inscrivent parfaitement dans notre volonté d’investir dans l’économie réelle. La création de valeur a principalement lieu en Suisse et la technologie solaire est aussi en premier lieu employée dans notre pays, avant de l’exporter dans les régions frontalières. Les applications du projet améliorent la qualité de notre espace de vie commun.
Les deux fondateurs sont par ailleurs très attachés aux valeurs que nous incarnons. Ces arguments et bien d’autres nous ont convaincus d’investir les fonds qui nous sont confiés dans cette aventure. Nous nous réjouissons de la partager avec dhp.
Märk Lüthi, délégué de la direction au Conseil d’administration de CoOpera Beteiligungen AG
L’assortiment, aussi reconnaissable que le lait bio
Tous les produits laitiers de Biomilk AG sont fabriqués à partir de lait Demeter (label orange) ou de lait bio (Bourgeon Bio Suisse) selon des normes bio ou biodynamiques. Les critères particuliers à respecter en matière de fabrication et d’origine sont les suivants :
Où trouve-t-on les produits Biomilk ?
Le principal client de Biomilk AG est le commerce de détail bio indépendant de Suisse. Ses produits font partie de l’assortiment des magasins bio de tout le pays Depuis 2020, la gamme déjà vaste de produits laitiers durables est encore plus demandée. Coop et Manor l’ont bien compris, puisque Biomilk AG produit pour eux des marques tierces comme « Manor Bio Natur Plus » et diverses lignes de produits laitiers Coop. La population suisse est spécialement sensible à la dimension durable de la production des denrées alimentaires. Avec une bonne vingtaine de collaborateurs et collaboratrices dans la transformation et la vente du lait et sa nouvelle usine de production à Worb, Biomilk AG est parée pour l’avenir et bien équipée pour poursuivre son histoire à succès sur la voie biodynamique.
Biomilk vit et grandit : l’assortiment s’élargit
Yogourts – de brebis également – désormais en verre.
Les yogourts Biomilk en bocal allient tradition et innovation. Authentiques en goût et fabriqués à partir de matières premières de qualité issus d’une agriculture respectueuse de l'environnement, les yogourts au lait de vache Demeter réjouissent le palais des consommateurs depuis de nombreuses années. Et depuis décembre 2020, plusieurs arômes délicieux existent aussi en bocaux de 180 g et 500 g. De plus, il existe pour les amateurs de lait de brebis un yogourt nature au lait de brebis de qualité Bourgeon Bio.
Viva mozzarella biodinamica
Italianità de qualité Demeter – c’est ce qui caractérise la mozzarella Biomilk disponible depuis décembre 2020. Issus d’une agriculture biodynamique, les ingrédients utilisés pour la fabrication confèrent à ce grand classique italien un goût très authentique. La boule de mozzarella Biomilk de 150 g est disponible en qualité Demeter et sait convaincre, non seulement par son goût, mais aussi par son côté écologique et durable.
Ce ne sont là que quelques exemples du riche assortiment de produits laitiers Demeter de première qualité de la maison Biomilk – des produits pleins de vitalité et de saveur. Dans la troisième partie de notre série, nous vous présenterons la ferme Bigler. Alexandra Maier et Martin Bigler nous montreront leur ferme Demeter et nous raconteront comme le lait bio de leurs 30 vaches laitières à cornes parvient chez Biomilk AG. Nous nous réjouissons de vous les présenter.
Priska Hess
Apprentissage d’employée de commerce dans un garage, titulaire d’un brevet fédéral d’assistante de direction, utilisatrice SIZ
J’ai accompli mon apprentissage d’employée de commerce dans un garage. J’ai ensuite travaillé en tant qu’assistante, puis assistante de direction, dans différentes unités de production.
Je suis très heureuse de pouvoir me plonger dans un nouveau domaine et relever les défis qui m’attendent chez CoOpera Fondation collective PUK, où je me réjouis de soutenir activement la direction du secrétariat ainsi que le Conseil de fondation, le comité des placements et les autres organes.
Mes loisirs : golf, yoga, voyages et lecture
Mon crédo : tout ce qui doit arriver arrivera !
*****
Marianne Bähler
CFC d’employée de commerce, profil banque, titulaire de brevets fédéraux de spécialisation bancaire et de planification financière.
Ma formation dans une banque régionale et les divers emplois bancaires que j’ai occupés par la suite m’ont permis d’accumuler plus de trentecinq ans d’expérience dans le secteur, dont vingt en tant que conseillère à la clientèle et neuf comme responsable de deux succursales.
J’ai également travaillé en qualité d’employée de banque dans le domaine des crédits (privés et PME), des placements et de la prévoyance. De plus, j’ai pu me familiariser en tant que planificatrice financière avec le domaine des assurances sociales et préparer les clients à la troisième étape de leur vie en les conseillant et en établissant avec eux un plan de retraite.
C’est pour moi un grand plaisir de pouvoir exploiter auprès de CoOpera Fondation collective PUK mes connaissances bancaires dans la gestion des placements d’une caisse de pension, car les assurances sociales m’ont toujours beaucoup intéressée.
Gérer le capital de nos assurés est un défi passionnant et très varié auquel je me confronte très volontiers. Il me tient à cœur que les capitaux de la caisse de pension soient placés de manière optimale et durable, ceci afin de garantir la sécurité financière et l’indépendance des assurés à l’âge de la retraite.
Mes loisirs : Country Line Dance, nature, randonnée, ski
Le message concernant la réforme AVS 2021 a été publié en août 2019. La feuille de route de la Confédération prévoit toujours l’entrée en vigueur de cette nouvelle loi pour l’année civile 2022. À quels changements devons-nous nous attendre dans le domaine AVS ?
Pour des informations détaillées, veuillez consulter le PDF ci-joint.À propos de la prévoyance51.42 kB
J’ai 57 ans et j’habite depuis près de vingt ans avec mon épouse et mes deux filles dans le canton de Soleure. Né en Allemagne dans le Bade-Wurtemberg, j’ai émigré avec ma famille au début des années septante dans le canton de Fribourg où j’ai suivi une scolarité traditionnelle avant de me lancer dans une filière économique.
Une fois cette formation achevée et durant les dix premières années de mon parcours professionnel, j’ai tout d’abord acquis de l’expérience pratique au sein de sociétés nationales et internationales. C’est au début des années nonante que j’ai fait mes premiers pas dans le monde des assurances sociales, plus particulièrement dans celui de la prévoyance professionnelle. Mon intérêt grandissant pour cette branche m’a permis de me perfectionner au début des années deux mille et d’obtenir un diplôme d’études supérieures reconnu dans la branche. Depuis lors, je n’ai plus quitté le domaine du 2e pilier, exerçant ces quinze dernières années différentes fonctions de dirigeant.
Aujourd’hui, je me réjouis énormément, accompagné des organes directeurs de la fondation et des membres de notre équipe, tous très motivés, de pouvoir façonner l’avenir de cette institution significative.
Lorsque les lectrices et lecteurs liront ces lignes, tu auras déjà passé près de trois mois dans ta nouvelle fonction. Comment as-tu vécu la transmission de la gérance avec Daniel Maeder et quelles sont tes conclusions ?
Daniel Maeder et l’équipe se sont engagés jusqu’à présent avec passion, enthousiasme et savoir-faire pour la fondation.
Les domaines d’activité existants, soit les placements, l’assurance, les finances et l’état-major, sont logiques et de bon aloi. À mon sens, il n’y a pas de nécessité immédiate d’agir dans ce secteur.
Placer la priorité sur l’accroissement de la qualité du service, sur l’amélioration des processus de fonctionnement et sur la communication me paraît dans un premier temps plus judicieux. J’apporterai certainement des éléments nouveaux, non sans toutefois les mettre en équilibre avec les principes, voire les objectifs de la fondation et de mes collègues de travail.
Certains paramètres actuariels comme le taux technique ou le taux de conversion, liés à l’allongement de l’espérance de vie et aux redistributions futures pessimistes du marché, resteront encore un certain temps dans le radar de notre fondation. Il sera sans doute primordial de centrer les décisions sur la stabilisation financière et technique de la fondation. Celles-ci l’amèneront probablement à se réaligner prochainement sur le plan stratégique et opérationnel.
La situation des marchés, avec ses rendements moyens en baisse, pousse les fondations à s’interroger sur les placements de leur fortune. Il en va de même pour notre fondation qui, par ailleurs, fait son travail de manière consciencieuse et professionnelle. Les engagements sensés, durables et associatifs doivent prévaloir sur la recherche de maximisation de la redistribution. Il n’est toutefois pas exclu que nous soyons contraints de procéder à l’avenir à quelques ajustements.
Je reprends les rênes d’une institution de prévoyance professionnelle qui fonctionne bien, tout en étant séduit par les défis qui nous attendent et par les résolutions qui seront prises.
Quand il n’est pas occupé auprès de CoOpera Fondation collective PUK, que fait André Pierre ?
Je suis un citadin qui a émigré en campagne et suis attaché à la nature, à ma famille, à la cuisine, à la lecture et au sport.
Ancien sportif de haut niveau, j’ai repris une fonction d’entraîneur de volleyball auprès d’un club de la région où je m’occupe de la relève avec un groupe de jeunes talents. L’engagement personnel est important et gratifiant, me laissant le temps encore de flâner avec mon épouse, parfois aussi accompagné de mes deux filles.
Autant que faire se peut, la lecture fait partie de mes habitudes. Pour rien au monde, je ne délaisserais ce plaisir, même si rare soit-il. Du journal quotidien au roman, de la revue à l’essai, il m’arrive de m’enflammer, parfois au détour de mes flâneries, pour le monde des librairies. Tout ce qui touche à la futurologie m’intéresse. Les essais qui tentent de décrire l’évolution future dans les domaines sociaux, techniques et économiques ont actuellement ma préférence.
La cuisine régionale, nationale et internationale m’attire, surtout si elle est le reflet des délices rapatriés lors de nos voyages dans les pays voisins ou outre-mer. Concoctés avec passion à la maison et accompagnés d’un verre de vin bien assorti tout en étant dégustés en bonne compagnie, les bons petits plats sauront toujours m’enthousiasmer.
André Pierre, merci pour cette interview.
Qu’est-ce qui rend Biomilk si exceptionnelle ?
Revenons 30 ans en arrière. Aucune trace du boom bio en Suisse. Les exploitations laitières sont soumises à une pression grandissante. Chaque jour, trois à quatre d’entre elles font faillite. Comment garantir la survie des établissements tout en maintenant et encourageant la qualité durable, saine et naturelle des produits alimentaires ? Il s’agissait de la question centrale, une question de vie et de survie.
En 1989, les agriculteurs et le commerce bio décident de s’entraider en créant Biomilk. Pionnière, l’organisation s’engage alors à produire des produits laitiers biologiques et biodynamiques tout en veillant à assurer des prix et conditions de production équitables aux agriculteurs. Cela par conviction personnelle et sachant, par expérience, que les produits Bio et Demeter possèdent un goût et une qualité incomparables. Au début, CoOpera Beteiligungen AG apporte sa contribution financière afin de rendre ce projet possible.
Les aspirations de Biomilk
Biomilk, les agriculteurs bio et le commerce bio se sont donné pour crédo de toujours rechercher l’alliance parfaite entre qualité supérieure et véritable expérience gustative pour leurs produits laitiers. Ce faisant, ils souhaitent agir de manière responsable face au sol, aux plantes, aux animaux et aux hommes.
Biomilk est convaincue d’apporter, grâce à son travail, une contribution majeure en faveur de produits pérennes et durables et de consommateurs éclairés. La demande, l’écho des consommateurs et le développement du marché, notamment l’an dernier, lui donnent raison.
La tendance à préférer les produits alimentaires sains, bons et vitaux se poursuit. Aujourd’hui, Biomilk est le label des meilleurs produits laitiers authentiques. Les consommatrices et consommateurs ainsi que le commerce honorent leur engagement global de manière systématique ainsi que leur responsabilité de plusieurs décennies au sein de la chaîne de création de valeur.
Nouvelle construction à Worb
Biomilk et la « Chäsi Worb » ont fusionné en 2016 pour devenir Biomilk SA. Deux bonnes années plus tard, l’usine de traitement du lait a pu être ouverte à Worb. « Une nouvelle usine de traitement du lait afin de pouvoir bien gérer à l’avenir les défis en termes de qualité et de quantité », tel que l’expliqua alors Markus Lüthi, président du conseil d’administration de Biomilk SA. La modernisation a été une étape décisive à sa survie. Les anciennes installations avaient en partie près de 40 ans. La capacité de production a pu être doublée. Le courage a été récompensé. La construction a coûté près de 10 millions de francs, mais ces investissements étaient sages et prévoyants et le nouveau bâtiment est arrivé à point.
Ce que Biomilk transforme et crée
Biomilk SA transforme le lait Bio et Demeter des producteurs locaux ainsi que le lait régional de la coopérative fromagère de Worb. Des principes sévères sont appliqués à la transformation du lait de qualité supérieure en lait à boire, en yoghourts, en fromage blanc, en desserts et en mozzarella. « Il est possible de produire du lait de manière industrielle, ou d’adopter une démarche plus douce », déclare Markus Lüthi. « Notre philosophie ne considère pas la rapidité comme une priorité. Le travail manuel occupe la place centrale. Il nous permet une transformation soigneuse et consciencieuse, respectant et encourageant la qualité supérieure du lait – au rythme de la nature et en harmonie avec celle-ci. »
Tout comme les agriculteurs fournisseurs, l’usine travaille d’après les directives strictes de Demeter et du Bourgeon Bio. Les produits cultivés selon les règles « biodynamiques » de la société Demeter portent le label Demeter orange et le slogan « Agriculture Bio-Dynamique ».
Caractéristiques des produits Biomilk
Les produits cultivés de manière biodynamique possèdent des caractéristiques vitales supplémentaires, comme le prouvent des méthodes d’imagerie. La qualité de produit supérieure offrant une expérience gustative exceptionnelle est obtenue grâce à une méthode de production particulièrement soigneuse et attentive, utilisant des préparations spéciales et les cycles de culture d’après les enseignements de Rudolf Steiner. Cultiver d’après les prescriptions Demeter renforce de manière significative la fertilité du sol, comme le prouve scientifiquement une étude à long terme de l’Institut de recherche de l’agriculture biologique.
Perspectives : le chemin du lait de la ferme bio à Biomilk, l’assortiment et bien plus encore.
Quel chemin effectue le lait de la ferme bio à Biomilk, où trouve-t-on des produits Biomilk, quel est l’assortiment et quels sont les élargissements prévus, voici tout ce que vous découvrirez entre autres, chères lectrices et chers lecteurs de « . point-virgule , », dans le portrait de la ferme des Bigler, qui paraîtra dans la prochaine édition de notre newsletter.
CoOpera Galgenfeldweg 16 | 3006 Bern | Telefon 031 922 28 22 | info@coopera.ch | Déclaration sur la protection des données