Plusieurs cas de figure : période d'essai, contrat à durée limitée ou temporaire
Pour les emplois à durée déterminée, l'assurance de prévoyance professionnelle prévoit d'une manière générale, conformément aux art. 1j et 1k OPP2, que les personnes employées pour une durée de trois mois au maximum n'ont pas l'obligation de s'assurer. Si le contrat est à durée indéterminée dès le début de la relation de travail, la personne doit être assurée depuis le 1er jour, indépendamment de la période d'essai. Si un contrat à durée déterminée est prorogé au-delà de trois mois, la personne doit être assurée à partir de la date de la convention. L'assurance de prévoyance professionnelle ne peut être évitée en cumulant les emplois temporaires. L'art. 1k, let. b OPP2 explique que si a) les engagements à durée déterminée durent au total plus de trois mois et b) aucune interruption entre deux emplois ne dépasse trois mois, le salarié est soumis à l’assurance obligatoire dès le début du quatrième mois de travail.
Si vous engagez des personnes en temporaire par l'intermédiaire d'une agence de placement, celles-ci doivent en principe être assurée par l'agence d'intérim, clause qui doit impérativement être réglée par contrat. L'art. 2 OPP2 stipule que les travailleurs occupés sont dans ce cas réputés être des travailleurs salariés de l’entreprise de placement temporaire (location de service).
Nous sommes à votre disposition pour répondre à d'éventuelles questions.
Modifications du règlement dès 2018
Nous vous présentons ci-après brièvement les principales modifications apportées au règlement. Vous trouverez le règlement actuelle de prévoyance sur notre site Internet : https://coopera.ch/fr/document/entreprises-institutions/130-i-f-001/file celui-ci que sera valable dès 2018 vous trouverez au début de l'an par le même liens.
Dans ce contexte, nous vous renvoyons à notre glossaire qui explique de nombreux termes spécifiques à la prévoyance professionnelle : https://coopera.ch/fr/bon-a-savoir
L'âge minimum de la retraite est désormais de 58 ans pour les femmes et les hommes. Nous avons modifié en conséquence les dispositions transitoires (retrait en capital en lieu et place d'une rente) pour les indépendants nouvellement admis (Solid'Art).
À l'art. 18, nous avons ajouté que, pour les sociétés dans lesquelles l'employeur finance plus de la moitié des cotisations, les collaborateurs ont la possibilité de verser à titre facultatif davantage de cotisations d'épargne.
À l'art. 29, nous avons réglé la question du préfinancement d'une retraite anticipée. Concrètement, il est possible de préfinancer le montant manquant jusqu'à l'âge ordinaire de la retraite. Si vous désirez prendre une retraite anticipée à 62 ans tout en bénéficiant d'une retraite à hauteur de ce qu'elle aurait été à 65 ans, vous pouvez préfinancer cette lacune. Il s'agit dans ce cas d'un rachat déductible des impôts.
De plus, vous pouvez désormais percevoir ou préfinancer une rente de raccordement en cas de retraite anticipée. Il est possible soit de financer à l'avance la rente de raccordement payée jusqu'au retrait de la rente AVS, soit de la déduire de l'avoir vieillesse disponible (ce qui réduit cependant la rente de vieillesse à vie).
En ce qui concerne la rente de partenaire (art. 36) et le capital en cas de décès (art. 39), ce sont à nouveau le domicile commun et le fait de vivre en ménage commun qui sont requis pour avoir droit à ces sommes.
L'art. 47 a une nouvelle fois subi de légères modifications en raison du nouveau droit du divorce. Les conditions de surindemnisation ont également été adaptées à la nouvelle Loi sur l'assurance-accidents.
L'art. 55 règle le retrait anticipé au titre de financement de la propriété du logement ; l'ordonnance stipulant désormais que le remboursement minimal d'un retrait anticipé est de CHF 10 000.– au lieu de CHF 20 000.–, nous avons modifié le règlement dans ce sens.
Et pour conclure : à partir de 2018, les frais d'administration seront de 0,5 % du salaire assuré (auparavant, le taux était progressif entre 0,5 % et 0,7 %) pour tous les employés, avec plafonnement à CHF 600.–.
Par conséquent, nous devons facturer le travail pour l'exécution de liquidations partielles, ce qui est également ancré dans l'avenant relatif aux coûts.
Qu'ils soient traditionnels ou tout récents, les commerces bio ont ceci en commun : ils vendent des valeurs vraies. Des produits de qualité avec une histoire, achetés à des agriculteurs locaux ou choisis avec soin chez un fournisseur bio. Vendus par des personnes qui prennent le temps de discuter ou de donner des conseils. Les magasins bio spécialisés enrichissent notre vie : ils contribuent à la diversité de la Suisse et apportent du changement à notre quotidien.
Un partenaire fort pour les magasins bio individuels
Les produits qu'il ne peut se procurer auprès d'un agriculteur bio local, le magasin bio les achète à un grossiste bio. Bio Partner Schweiz AG est le principal grossiste de Suisse dans le domaine des produits biologiques. L'entreprise fournit des produits bio de qualité et même des produits cosmétiques aux magasins spécialisés dans le bio, au commerce de détail en général ainsi qu’à des hôtels-restaurants dans toutes les régions linguistiques de Suisse - et même à des sociétés de transformation à l'étranger.
Outre sa fonction de grossiste, Bio Partner se considère aussi comme un réel partenaire pour les magasins bio. En effet, tous les commerces bio ne profitent pas du bel élan dont bénéficie le marché bio depuis plusieurs années. Une bonne partie du chiffre d'affaires et des ventes s'est déplacée vers la grande distribution et même récemment vers les discounters. Les magasins bio locaux risquent par conséquent de voir leur clientèle se raréfier. Bio Partner s'engage pour ces commerces bio individuels. La société est sur le point de lancer un nouveau programme d'aide qui devrait notamment encourager l'échange entre les magasins et faciliter les nouvelles ouvertures, le mot clé étant « coopération » plutôt que « concurrence ».
* Si vous ne savez pas exactement où se trouve votre magasin bio le plus proche, n'hésitez pas à consulter le site www.biopartner.ch/shopfinder/.
CoOpera et Bio Partner
Bio Development AG (www.bio-Development.net) est l'actionnaire principal de Bio Partner Schweiz AG. CoOpera détient des parts des deux sociétés.
Les magasins bio ont du succès avec leurs légumes et autres spécialités régionales
À quand la prochaine fois que vous découvrirez un nouveau produit dans votre magasin bio?
Photos : © Bio Partner Schweiz AG
Une troisième force dans le domaine des produits alimentaires grâce au bio!
Bio Development AG, dont le siège se trouve à Seon, est une société de participation qui s'est fixé comme but de trouver des solutions pour soutenir les pionniers du bio en Europe. Veuillez consulter à ce sujet le site Internet http://bio-development.net. La société est déjà actionnaire majoritaire du plus grand grossiste bio de Suisse, Bio Partner Schweiz AG, né il y a plus de 10 ans de la fusion de Vandadis, ViaVerde et Bio-Eichberg.
Elle détient maintenant aussi 40 % (45 % dès janvier 2018) des parts de la troisième chaîne de magasins bio d'Allemagne, Bio Company GmbH Berlin, qui exploite actuellement 57 filiales, principalement à Berlin et dans ses alentours.
Une autre étape importante en Allemagne sera très bientôt franchie. De plus, la relation amicale avec EcorNaturaSi et ses plus de 300 magasins en Italie sera renforcée par la conclusion d’un accord financier.
Une nouvelle manufacture laitière verra par ailleurs le jour pour les produits Demeter, Bio et Regio de Biomilk AG à Worb (près de Berne en Suisse) ; elle sera mise en service à l'été 2018. Bio Development AG et CoOpera Beteiligungen AG sont les principaux actionnaires de Biomilk AG.
Une autre grande étape sera une association de magasins en Suisse qui regroupera entre 70 et 100 magasins bio dans un délai de 5 ans et qui sera également constitué à l’avenir par des commerçants bio indépendants. Bio Partner Schweiz AG met actuellement au point un pack de services avec conseils d'emplacement, marketing, formation, aménagement intérieur et image de marque qu'elle proposera aux négociants spécialisés dès 2018.
Vous pouvez consulter vos possibilités de rachat sur votre dernier certificat de prévoyance. Vous avez aussi la possibilité de prendre contact avec nous pour connaître cette somme. Une possibilité de rachat se présente lorsque le montant maximal de l'avoir de vieillesse n'est pas encore atteint. Comme d'habitude, ce dernier se calcule sur la base de votre solution d'assurance chez nous et part du principe que vous avez économisé tout au long de votre carrière, du début de votre assurance jusqu'au moment du calcul avec votre salaire actuel. Le calcul sera effectué au 31 décembre 2017.
Avec un versement sur votre compte, vos recettes diminuent dans votre déclaration d'impôt, ce qui a une incidence directe sur le montant imposable. Nous enregistrons entièrement le rachat. Vos prestations de prévoyances et, en cas de décès, les éventuelles prestations de survivant sont ainsi améliorées. En fonction de votre plan de prévoyance, les prestations d'invalidité augmenteront aussi, notamment si elles s'appuient sur l'avoir de vieillesse. Chez nous, vous bénéficiez en outre encore et toujours d'intérêts supérieurs à ceux d'un compte bancaire habituel. Une solution « gagnant- gagnant ».
Nous vous prions d'effectuer votre rachat de manière à ce que le versement arrive chez nous au plus tard le 20 décembre 2017. Les paiements entrants qui sont datés par une banque après le 31 décembre 2017 ne peuvent plus être pris en compte pour l'année fiscale en cours.
Changements d'état civil :
Nous vous prions de nous annoncer tout changement d'état civil (mariage, divorce) au plus tôt. Merci beaucoup.
Lors de l’assemblée des délégués de CoOpera Fondation collective PUK de cette année, Udo Herrmannstorfer a présenté un exposé portant sur le thème : «Difficultés actuelles et défis à relever.Conflits d’intérêts. Comment CoOpera gère-t-elle ces paramètres?»
Uniquement en allemand
Udo Herrmannstorfer
Dolfinos, gagnant du Swiss Startups Award, et CoOpera Beteiligungen AG ont conclu un partenariat. CoOpera et Dolfinos AG ne partagent pas seulement une vision éthique et durable de l'économie, mais font également tous deux une priorité du bien-être et de la sécurité de leurs clients. Nous sommes par ailleurs unis par une quête inlassable d'innovation au service de la clientèle et d'engagement en faveur de l'être humain. Des qualités qui se traduisent professionnellement par la création artistique, la formation et l'implication sociale.
Dolfinos fabrique du matériel novateur pour musiciens afin d’aider ces derniers à éviter tout problème physiologique professionnel ainsi qu’à apprendre et à jouer avec brio.
Son premier produit est un support pour violons qui remplace les technologies actuelles (mentonnière et épaulière) par une seule solution complète. Cette dernière repose sur des années de recherche et de développement et est fabriquée conformément à la plus pure tradition de qualité suisse.
Les propriétés de cette technologie brevetée favorisent un maintien plus ergonomique, une motricité plus fluide et une meilleure oscillation du violon.
Des luthiers, des professeurs de violon, des musiciens, des dermatologues, des physiologistes, des ingénieurs, des acousticiens et des designers ont participé à l'élaboration du support afin de satisfaire au mieux aux besoins des clients.
La sécurité, le degré d'efficacité et la maniabilité du support pour violons ont fait l'objet d'études concluantes notamment menées par le Physiology Lab de l'EPFZ. Des forces de levier optimisées induisent des changements de position facilités et une dynamique de jeu plus libre. Grâce au support pour violons Dolfinos, le contrôle de l'instrument demande moins d'efforts au niveau du cou et de la nuque. Les points de pression sur le corps sont donc effectivement déchargés.
Dolfinos mettra son support pour violons en prévente cet automne.
Vous trouverez de plus amples informations au sujet de l'entreprise, du produit et de sa commercialisation prochaine sur le site Internet de Dolfinos: www.dolfinos.com/CoOpera
Pneumatit®, un additif pour béton conçu, produit et commercialisé par Pneumatit SA à Rheinau, confère une activité biologique subtile et durable à ce matériau de construction. Il perd alors ses effets perturbateurs sur la physiologie et les sens et dégage une aura protectrice mesurable. CoOpera Beteiligungen AG apporte son soutien à cette startup de Rheinau sous la forme d'un portefeuille d'actions et d'un prêt.
Tout porte à croire que le béton, un matériau de construction pourtant génial, peut provoquer des effets inconfortables, néfastes, voire pathogènes. Dans le cadre du projet Fintan (à Rheinau) et avec la collaboration de la plus grande exploitation agricole biodynamique de Suisse, Markus Sieber et le chercheur José Martinez ont mis sur pied un projet de recherche a priori absurde portant sur les nouvelles constructions (étable à stabulation libre, logements de 2006 à 2010). Leur objectif était de développer un béton mieux adapté, plus sain pour l'homme et l'animal, et qui laisse aussi place à l'épanouissement et au développement individuels. Leur philosophie : le béton mérite le pas suivant.
Le béton biodynamique est devenu une réalité
Stimulation de la mort minérale : de nombreuses personnes ressentent les effets de Pneumatit et décrivent des sensations d'amplitude, de chaleur et de bien-être. « Ici, je peux être moi-même », explique Stephan Grubenmann, médecin à l'institution de soins Sunnegg à Walkringen. Toutes les analyses effectuées le confirment, notamment un test comparatif important s'appuyant sur la variation du rythme cardiaque et la psychométrie. Les images de cristallisation révèlent ce nouvel état vivant et des recherches d'ordre supraphysique démontrent que les fonctions psycho-spirituelles hautes de l'homme sont particulièrement stimulées. Pneumatit ne modifie en aucun cas les propriétés chimiques et physiques du béton.
Au départ conçu pour un usage personnel, Pneumatit a vu sa demande croître lentement de manière surprenante. Les opérations de marketing actif commencent seulement en 2016, alors que 13 000 m3 de béton ont déjà été fournis en Suisse et à l'étranger. Une activité professionnelle était (presque) née d'elle-même et une Sàrl a été créée en 2014, puis transformée en SA en 2017 parallèlement à une augmentation de capital. Pneumatit est conforme aux réglementations CE et autorisé à l'échelle européenne. L'octroi de la certification correspondant à la norme SIA SN EN 206 est attendu en novembre.
CoOpera a aussi concrétisé son engagement en choisissant du béton biodynamique pour son projet de nouvelle construction Biomilk à Worb et pour ses futurs bâtiments.
Nous souhaitons fournir des informations neutres aux employeurs et assurés affiliés.
Voici une liste des mesures principales :
L’évolution des conditions cadre démographiques et économiques entraîne un besoin de révision du système des rentes afin de garantir la stabilité du système de prévoyance et de pérenniser les rentes. Tel est aussi l’intérêt des assurés de CoOpera Fondation collective PUK.
Quel que soit le résultat de la votation, il est indéniable
qu’il est de plus en plus fréquent de voir des personnes d’atteindre l’âge de 80, 90, voire 100 ans.
Les systèmes de coordination sociale et économique doivent donc être ajustés.
Le fait que cette réforme concerne l’AVS et la prévoyance professionnelle peut prêter à confusion.
En matière d’AVS, la réforme introduirait une retrait flexible et ce, pour les personnes âgées de 62 à 70 ans. Les cotisations AVS des employeurs et des employés augmenteraient de 0,15 % et la TVA de 0,3 %.
Les nouveaux rentiers AVS toucheraient 70 francs de plus et la rente de conjoint maximale augmenterait de 225 francs par mois.
Le relèvement de l’âge de référence des femmes à 65 ans, soit au niveau de celui des hommes, ainsi que l’augmentation de la TVA auraient des répercussions positives sur l’AVS.
L’âge de référence de 65 ans pour les femmes serait introduit progressivement :
Année |
Année de naissance |
Âge de référence ou âge de départ à la retraite |
2018 |
1954 |
64 ans et 3 mois |
2019 |
1955 |
64 ans et 6 mois |
2020 |
1956 |
64 ans et 9 mois |
2021 |
1957 |
65 ans |
L’AVS proposerait ainsi une solution flexible pour un départ à la retraite entre 62 et 70 ans. La prévoyance professionnelle serait également liée à l’âge de retraite le plus précoce de 62 ans, à condition que l’âge de référence dans le règlement de prévoyance ne dépasse pas 65 ans. La caisse de pension pourrait alors prévoir le départ à la retraite de ses assurés au plus tôt à l’âge de 60 ans. L’âge de référence LPP serait toujours adossé à l’AVS, donc 65 ans pour les femmes et les hommes.
L’abaissement du taux de conversion de 6,8 % actuellement à 6 % freine la redistribution étrangère au système dans la prévoyance professionnelle et constitue une étape importante pour une prise en compte plus juste des générations. Le taux de conversion est une équation actuarielle et dépend de l’espérance de vie statistique. Il faut ici souligner qu’il s’agit du taux de conversion légal et que la plupart des assurés sont au bénéfice en sus d’une assurance surobligatoire, pour laquelle le taux de conversion légal est appliqué selon le principe d’imputation. En d’autres termes, le minimum légal doit être atteint en considérant l’ensemble de la solution d’assurance.
Le minimum légal a été abaissé en tenant compte d’une génération transitionnelle de 20 ans (compléments par le fonds de garantie pour les assurés de 45 ans et plus).
La réduction du taux de conversion induit une réduction des rentes vieillesse (calcul de la rente de vieillesse sous le régime de la primauté des cotisations : avoir de vieillesse disponible au moment du départ à la retraite multiplié par le taux de conversion). Une épargne supplémentaire est prévue pour contrer l’inévitable baisse des rentes. La LPP actuelle prévoit un échelonnement des cotisations d’épargne selon les tranche d’âges 25 – 34 ans 7 %, 35 – 44 ans 10 %, 45 – 54 ans 15 % et 55 – 64/65 ans 18 % du salaire assuré. La réforme prévoit un nouvel échelonnement à 7/11/16/18 %.
En outre, l’abaissement du taux de conversion serait compensé par une réduction de la déduction de coordination. Le salaire assuré et, partant, les bonifications d’épargne s’en trouveraient augmentées. La déduction actuelle de CHF 24 675 (ou 7/8 de la rente AVS maximale) serait alors de 40 % du salaire (au moins 14 100, au plus 21 150).
En outre, les fondations de libre passage rémunèrent les fonds à un taux inférieur à celui des caisses de pension. Une rente vieillesse auprès de sa caisse de pension est constituée au fil des ans par le versement des cotisations d’épargne. En règle générale, l’employé et l’employeur en versent chacun la moitié, à moins que le plan de prévoyance prévoie une contribution plus importante de l’employeur. Les cotisations sont versées et rémunérées dans un compte individuel et donnent, après multiplication par le taux de conversion, le montant de la rente vieillesse. Mentionnons au passage que ce système prévaut non seulement en matière de primauté des cotisations, mais aussi, avec quelques aménagements, en matière de primauté des prestations. Cotisations d’épargne et prestations de vieillesse sont toujours en adéquation. En ce qui concerne lesdites prestations de vieillesse, notre caisse privilégie toutefois le système de la primauté des cotisations, tel que décrit ci-dessus.
Il apparaît donc clairement que les prestations de libre passage disponibles auprès d’une fondation de libre passage font défaut à la caisse de pension pour le calcul des prestations de vieillesse. Les institutions de prévoyance desquelles un assuré ou les assurés sortent sont légalement tenues de transférer ses ou leurs avoirs à la nouvelle caisse de pension. La maxime est que les avoirs sont liés à l’assuré. Or, ce processus n’est pas automatique. L’assuré doit effectuer quelques démarches. Précisons encore que la rémunération moindre des avoirs par la fondation de libre passage péjore le capital au fil du temps. La solution optimale consiste à verser la prestation de libre passage peu après l’affiliation à la nouvelle caisse de pension. Si vous avez des doutes quant à d’éventuels fonds non transférés, vous pouvez transmettre une demande de recherche à la Centrale du 2e pilier (www.verbindungsstelle.ch, formulaire de demande).
Pour les raisons précitées, nous vous recommandons de verser vos prestations de libre passage, si vous disposez de tels avoirs sur un compte. Contactez-nous en cas de questions, nous vous répondrons avec plaisir. Ce qu’il faut savoir au sujet de la prévoyance
Nous allons mettre à jour les conventions d’affiliation. Certains employeurs recevront donc de nouveaux documents cet été.
Nous vous informerons en temps utile de tous les changements apportés.
Nous avons évalué les questionnaires que nous avions envoyés à tous nos assurés. Le taux de retour avoisine les 12 %. Nous avons constaté avec plaisir que la quasi-totalité des participants connaissent notre philosophie de placement. Ils l’apprécient, car elle correspond à leurs valeurs. Nous avons identifié un potentiel d’amélioration dans la publication de nos informations en français, qui se révèle parfois lacunaire. Nous prions les personnes n’ayant pas reçu de renseignement précis par oral suite à leur demande en français de bien vouloir nous en excuser. Plusieurs francophones ont toutefois précisé qu’ils appréciaient le fait de pouvoir être informés dans leur langue.
Autre potentiel d’amélioration : les formulaire sur notre site. Nous précisons à nouveau ici qu’il arrive que le navigateur empêche l’envoi direct des formulaires. La plupart des commentaires formulés soulignent toutefois leur caractère «clair, moderne et attrayant». Il est étonnant que la plupart des sondés ne consultent presque jamais notre site Internet. Le numérique est-il en perte de vitesse ? Ou, comme l’a formulé l’un des sondés : « Faut-il vraiment que chacun dispose de son propre site? »
Nous somme très contents des réponses fournies quant au degré de satisfaction vis-à-vis de nos prestations : les commentaires ont presque tous été positifs. Les quelques commentaires négatifs seront analysés afin d’apporter des améliorations correspondantes dans le mesure du possible.
À vous tous, que vous ayez ou non répondu à notre questionnaire : un grand merci pour votre fidélité envers notre fondation collective. Vos commentaires sont autant de sources de motivation pour optimiser sans cesse nos prestations.
L’OFAS a présenté cette idée comme suit :
Investir dans un portefeuille fortement diversifié de jeunes entreprises prometteuses afin de promouvoir la place économique suisse tout en obtenant des rendements attrayants de 8 % à 10 %.
Une idée qui devrait être mise en œuvre comme suit :
Rendements attrayants et stables à long terme grâce à :
En comparaison avec les autres pays industrialisés à l’échelon mondial, la Suisse est à la traîne en matière de financement des start-ups ou jeunes entreprises (nouvelles entreprises proposant des produits ou modèles commerciaux novateurs) par des opérations de capital-risque (ou Venture Capital). À cet égard, à peine 40 % des capitaux destinés à financer les jeunes entreprises suisses provenaient de Suisse même. Il est donc temps d’agir.
CoOpera Fondation collective PUK a identifié ce besoin dès sa fondation et sa philosophie de placement voulant que « l’argent doit retourner dans l’économie réelle » est déjà une partie de la solution. Concrètement, elle a fondé en 1991 CoOpera Beteiligungen AG pour doter les jeunes entreprises et expansions d’entreprises des fonds propres nécessaires (cf. www.coopera.ch/beteiligungen). Aujourd’hui, elle a investi près de 30 millions de francs dans des PME et son travail est couronné de succès depuis des années. Elle ne vise pas une optimisation des rendements, mais la promotion d’une économie éthique, sociale et écologique tout en obtenant une rémunération appropriée du capital. Les rendements escomptés par l’OFAS dans son projet, à savoir 8 % à 10 % par année, ne pourront jamais être réalisés dans ce domaine. www.asip.ch
reCIRCLE est la nouvelle méthode « prête à l'emploi » pour éviter simplement de produire des déchets : à chaque utilisation, l’entreprise ou le particulier préserve ainsi de précieuses ressources. Un emballage réutilisable équivaut à au moins 100 emballages jetables, ce qui correspond à une économie d’environ 8 litres de pétrole ou 18 kilos d’émissions de CO2.
Les récipients réutilisables « Rebox » ont été lancés sur le marché voici trois ans (au début, sous le nom de « grüne Tatze », ou « pattes vertes »), et la tasse réutilisable « Recup » les a rejoints par la suite. La ville de Berne a rapidement décerné le prix « Goldenenen Besen » (« Balais d’or ») à ReCIRCLE pour son engagement exemplaire en faveur de la propreté de la ville. L’Office fédéral de l'environnement a soutenu le projet pilote qui a été lancé avec 12 établissements de restauration à l'emporter. Aujourd’hui, les couverts reCIRCLE sont utilisés par près de 70 restaurants qui les remettent contre un dépôt de 10 francs. Après le repas, la boîte est échangée contre des couverts propres ou le dépôt. L’utilisateur peut aussi laver lui-même ses couverts afin de les réutiliser à sa guise. Produits à Einsiedeln, ces nouveaux récipients sont étanches, peuvent être utilisés au micro-ondes et ont une durée de vie prolongée tout en restant hygiéniques grâce à leur matériau de fabrication de qualité.
Les restaurants d’entreprise s’efforcent eux aussi de réduire le volume des déchets. La compagnie BLS a par exemple offert 400 Rebox à son personnel qui les utilise depuis tous les jours.
CoOpera est convaincue que cette belle aventure n’est de loin pas terminée et se réjouit de pouvoir cofinancer une entreprise durable et novatrice. Jeannette Morath, la cheffe dynamique de reCIRCLE, fourmille d’idées même si elle avoue que le développement de son entreprise est plus lent que ce qu’elle imaginait.
Avec ce nouveau site, l’entreprise Biomilk AG, pionnière dans le traitement du lait Demeter et Bio et active jusqu’à maintenant à Münsingen, et l’entreprise traditionnelle Chäsi Worb, sise à Worb, vont considérablement augmenter leur capacité de production. Cette union permet à l’entreprise de consolider sa position d’entreprise de premier plan à l’échelon régional dans le traitement du lait Bio en Suisse au moyen de processus particulièrement durables et respectueux de la nature.
CoOpera Immobilien AG est le maître d’ouvrage du nouveau site de production et CoOpera Beteiligungen AG est l’actionnaire principal de Biomilk AG. Sur ce nouveau site de production à Worb, nous investissons au total plus de 8 millions de francs pour les bâtiments et plus de 2 millions de francs pour les installations de production. « Nous construisons une usine de traitement du lait qui, grâce à des méthodes de production de produits laitiers particulièrement respectueuses de la nature et ciblées sur le régional, constitue une composante essentielle d’une économie laitière responsable, de la ferme jusqu’aux consommateurs. Nous sommes en effet persuadés qu’une économie laitière durable est profitable à tous, du fermier au consommateur, en passant par les transformateurs », explique Markus Lüthi, président du conseil d’administration de Biomilk AG et délégué du conseil d’administration de CoOpera Beteiligungen AG.
www.biomilk.ch / www.chaesiworb.ch
Le Stapferhaus de Lenzbourg rencontre depuis plusieurs années un franc succès avec des expositions telles que « Entscheiden » (« Décider ») ou « Geld » (« L’argent »). L’exposition actuelle « Heimat – eine Grenzerfahrung » (« Patrie – L’expérience des frontières ») a attiré plus de 12 000 visiteurs au cours des sept premières semaines. L’exposition interactive dans l’enceinte de l’ancien arsenal (Zeughaus) de Lenzbourg comprend également une grande roue qui offre un joli panorama sur les toits de la ville.
Le Stapferhaus planifie pendant ce temps la prochaine exposition qui devrait être inaugurée en 2018 dans la « Maison du présent » en face de la gare de Lenzbourg. Cette maison de la culture, devisée à 24 millions de francs, abritera le Stapferhaus dont les bureaux se trouvent aujourd'hui au château de Lenzbourg.
Le chantier est en cours et la première pierre a été posée début mai. « Nous sommes fiers de pouvoir conserver le Stapferhaus à Lenzbourg et de lui offrir un emplacement central à proximité de la gare », a déclaré Daniel Mosimann, maire de Lenzbourg, avant de placer le permis de construire dans la boîte métallique. La « capsule temporelle » a accueilli d’autres documents, tels que le contrat de superficie, des journaux et une maquette du bâtiment de deux étages, avant d’être placée dans la première pierre de l’édifice sous les applaudissements et « avec nos meilleurs vœux de réussite pour de nombreuses idées créatives », comme l’a déclaré Corina Eichenberger, présidente du Conseil de fondation et conseillère nationale PLR.
Propriétaire du terrain sur lequel est construite la « Maison du présent », CoOpera Fondation collective PUK atteste par cet engagement avoir investi de manière judicieuse les fonds qu’elle gère au nom de ses assurés. Avec nos meilleurs vœux à la « Maison du présent » pour ses prochaines expositions. www.stapferhaus.ch
Institutions: 502 (au 31.12.2017)
Assurés: 4‘918 (au 31.12.2017)
Retraités: 1‘147 (au 31.012.2017)
Bilan: CHF 728.7 Mio.
Taux de couverture: 105,4 %
Intérêt 2017: 1% sur toutes les valeurs actives
Taux téchnique: 2.75% (au 31.12.2017)
Taux de conversion 2017: 6.8% sur toutes les valeurs actives; réduction sur 6.0% jusqu'à 2020
Performance 2017 4.1%
Performance moyenne des trois dernières années: 2.3%
L’idée de cette entreprise et l’envie de la fonder sont venues à ses deux fondateurs, Emanuel Schmock (37 ans) et Armin Steuernagel (26 ans), lors d’un voyage en Asie. Ils y ont découvert leur intérêt commun pour les produits écologiques et le travail pédagogique auprès des enfants. Tous deux scolarisés à l’école Waldorf, ils ont visité, en Asie, des jardins d’enfants, des écoles, des instituts de formation d’enseignants et des commerçants. Armin Steuernagel a avant tout été intéressé par les opportunités pédagogiques alors que son partenaire Emanuel Schmock a observé les diverses habitudes alimentaires locales. Les deux jeunes entrepreneurs ont vite réalisé qu’ils souhaitaient concrétiser leur idée de produits sains, équitables et adaptés aux enfants. En octobre 2012, ils ont fondé l’entreprise Damia GmbH (Damia, divinité grecque de la fertilité).
La vision de Damia GmbH peut être résumée en une phrase : donner envie aux enfants de manger bien. Les enfants doivent aimer les nouvelles denrées alimentaires.
L’objectif suprême, depuis le début, est de proposer à tous les enfants des aliments sains et savoureux, certifiés bio ou Demeter, adaptés et riches en substances nutritives. Au sein de l’entreprise, les enfants et leurs besoins ont toujours la priorité. Chaque nouveau produit, chaque nouvel emballage, chaque recommandation de découverte de la nature est au préalable soumis à l’approbation d’un jury d’enfants.
Des volumes de production raisonnables et un procédé de fabrication neutre en émissions de CO2 assurent et maintiennent une qualité de premier rang pour les produits. Damia GmbH achète la plupart des matières premières à des fermes bio et Demeter en Allemagne. La production incombe à des entreprises de taille moyenne situées en Allemagne ou en Autriche. Tous les sites de production sont présentés sur le site Internet de l’entreprise, qui mise donc sur une grande transparence.
Dans le détail, ces modifications du règlement de prévoyance de CoOpera Fondation collective PUK se présentent comme suit :
Sont les ayants droit, indépendamment du droit des successions, les survivants dans l’ordre suivant, étant entendu que le groupe qui précède exclut celui qui suit du droit à percevoir un capital en cas de décès :
Lien vers le règlement de prévoyance de CoOpera Fondation collective PUK (853 KB)
« L’économie dans son ensemble porte la responsabilité d’assurer la subsistance de toutes les personnes qui lui sont liées, et cela de manière égale pour les personnes en mesure de travailler comme pour celles qui ne le peuvent pas ou plus (enfants, chômeurs, handicapés, personnes âgées). »
Il ne s’agit pas d’un modèle de marché abstrait assumant une responsabilité économique. Pour CoOpera, toute personne active dans le domaine économique assume une part de responsabilité d’un modèle de marché totalement insuffisant sur les plans écologique et social. Dans les divers ateliers, des orateurs liés de près ou de loin à CoOpera présentent de manière professionnelle leurs approches pour une activité entrepreneuriale responsable et proposent de dialoguer et de répondre à toutes les questions des participants. En complément, les participants peuvent expérimenter directement les opportunités de l’eurythmie pour une communication fructueuse au sein de l’entreprise.
« Très approfondi et actuel… »
« J’ai particulièrement aimé les liens avec la pratique… »
« Des thématiques variées, actuelles et pouvant être transposées sous diverses formes... »
« Je recommande ce cours, car il m’a permis de découvrir de manière vivante l’économie associative, et j’en ai retiré des éléments très stimulants… »
Début le 9 juin 2017, 8 h 40 à 16 h 50 (horaires ajustés à celui des CFF)
Lieu : Kosthaus Lenzburg (à côté de la gare de Lenzbourg).
Coûts : CHF 2000.– (y c. tous les supports de cours)
Contact et inscription : Franc B. Schwyter, Erlenweg 14, 5034 Suhr, tél. 079 359 22 14, e-mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Après avoir acquis en octobre 2015 des terrains constructibles à Itingen BL, CoOpera Fondation collective PUK a planché sur un projet immobilier global, pour respecter le souhait de la famille Imhof ayant vendu les terrains, et coordonné avec les riverains sur la base du plan de quartier.
Le projet a pour ambition de répondre aux lignes directrices de CoOpera Fondation collective PUK et aux exigences du lieu. En d’autres termes, les directives du plan de quartier sont respectées pour offrir un mélange attrayant de logements à des loyers modérés et aménagés avec soin, avec une architecture dynamique et des matériaux et moyens techniques écologiques pour des frais de construction bas. Le quartier doit proposer un mélange équilibré et intégré à la région de 46 logements, du studio à l’appartement à plusieurs étages.
La réalisation est prévue en 2018/2019.
CoOpera Fondation collective PUK est claire et transparente dans ses calculs et ses critères d’attribution.
CoOpera Fondation collective PUK accorde des hypothèques à taux variable et échéance libre.
Les taux d’intérêt sont fixés d’après le taux minimal LPP en vigueur, plus une marge d’intérêt de 0,75 à 3,5%, car, en tant que caisse de pension, CoOpera Fondation collective PUK doit générer des revenus pour couvrir ces taux d’intérêt.
Début 2017, le Conseil de fondation de CoOpera Fondation collective PUK a décidé de n’octroyer des hypothèques à taux fixe que sur une durée de 3 ans au maximum. Le taux d’intérêt est fixé en fonction du taux d’intérêt minimal LPP fixé par le Conseil fédéral, plus la marge d’intérêt.
Hypothèques avec un montant mensuel fixe qui doit être supérieur aux seuls intérêts sur l’hypothèque. La différence est utilisée constamment en tant qu’amortissement.
Exemple :
1re hypothèque 300 000, taux d’intérêt 2 %, aucune obligation d’amortissement, 2e hypothèque 150 000, taux d’intérêt 2,5 %, amortissement convenu 4 %, le paiement mensuel (annuité en tranches mensuelles) est de CHF 1419.50 et correspond environ au loyer mensuel pour un appartement de 3,5 pièces dans une région plutôt rurale.
Les retraités qui souhaitent procéder à d’importantes rénovations sur leur objet immobilier peinent bien souvent à obtenir une nouvelle hypothèque ou une augmentation de leur prêt existant. CoOpera Fondation collective PUK le permet à certaines conditions. Renseignez-vous !
Dans le domaine de la première hypothèque, nous pouvons proposer des hypothèques inversées (Reverse), où les intérêts hypothécaires à payer servent constamment à capitaliser la propriété, de sorte que le preneur d’hypothèque ne doit pas procéder à des versements.
Nous vous informons volontiers ci-après de nos taux d’intérêt et d’amortissement :
Les conditions suivantes s’appliquent pour les prêts garantis par gage immobilier à des débiteurs suisses en possession d’un bien immobilier en Suisse (hypothèques en CHF).
Pour déterminer les taux d’intérêts, CoOpera Fondation collective PUK s’oriente en premier lieu sur le taux minimal de rémunération pour les caisses de pension (LPP) fixé par le Conseil fédéral. Les taux actuels (01.01.2017) sont basés sur le taux d’intérêt LPP minimal de 1,00%, plus la marge d’intérêt. CoOpera Fondation collective PUK ne peut pas pratiquer des taux plus bas puisqu’en tant que caisse de pension, elle doit générer du rendement pour couvrir ses taux.
Un supplément est perçu pour la couverture du risque, la gestion des placements et la constitution d’une réserve de fluctuation de valeur (marge d’intérêt). Selon la catégorie de prêt, la marge d’intérêt varie entre 0,75 et 3,5%, fonds de garantie en sus.
NOTICE pour les Hypothèques CoOpera (129 KB)
Vous êtes intéressé(e) ?
Si vous souhaitez un prêt hypothécaire de la part de CoOpera Fondation collective PUK, n’hésitez pas à nous contacter. M. Markus Wegmüller vous donnera volontiers des informations, e-mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., tél. 031 924 32 33
Sous le patronage d'Edzard Reuter, citoyen d'honneur de Berlin, le jury s'est prononcé à l'unanimité en faveur du projet ExRotaprint. Cette initiative entrepreneuriale communautaire pour le développement artisanal, culturel et social d'un site industriel désaffecté classé monument historique a su séduire le jury. Le mélange convaincant de travail, d'art et de social a été qualifié d'exemplaire pour le développement de la ville de Berlin, surtout pour le quartier de Wedding dont les caractéristiques sociales et urbanistiques sont loin d'être simples.
Le projet ExRotaprint :
Là où l'ancienne société Rotaprint fabriquait autrefois des presses d’imprimerie, la société d'utilité publique ExRotaprint GmbH a conçu un site artisanal de 10'000 m2 dédié « au travail, à l'art et au social ». La superficie du complexe Rotaprint, pensé par l'architecte berlinois Klaus Kirsten et classé monument historique depuis 1991, est louée en 3 tiers égaux à des artistes, des artisans locaux et des institutions sociales.
L'exploitante, ExRotaprint GmbH, issue d'une association fondée en 2007 par les artistes Daniela Brahm, Les Schliesser et Anna Schuster, a acheté la parcelle avec l'aide de la fondation trias et de la fondation Edith Maryon, et conclu un contrat de droit de superficie héréditaire, excluant ainsi toute spéculation. CoOpera Fondation collective PUK participe directement au projet ExRotaprint, puisqu’elle en finance l'hypothèque.
CoOpera Fondation collective PUK tient à féliciter ExRotaprint GmbH pour cette magnifique distinction !
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Doté de 10'000 euros, le Prix Julius Berger pour le développement urbain à Berlin est offert par Bilfinger SE en mémoire de l'entrepreneur Julius Berger. Le Prix Julius Berger est attribué tous les trois ans, conjointement au Prix pour l'architecture de Berlin.
Plus d'informations :
Julius Berger Preis 2016
http://www.architekturpreis-berlin.de/de/Preis/Julius%20Berger%20Preis%202016/
ExRotaprint gGmbH
CoOpera Galgenfeldweg 16 | 3006 Bern | Telefon 031 922 28 22 | info@coopera.ch | Déclaration sur la protection des données