Taux d’intérêt technique
Le taux d’intérêt technique d’une caisse de pension est une valeur mathématique. C’est le taux d’intérêt selon lequel un capital de prévoyance est actualisé en fonction des rendements futurs prévus et constitué en réserve pour les prestations de rente. Afin de pouvoir faire face à ces engagements en tout temps, une caisse de pension réserve un capital de prévoyance pour les rentes de vieillesse et de survivants.
Comme taux d’intérêt actuariel, le Conseil de fondation fixe le taux d’intérêt pour le financement des futures prestations de la caisse de pension. Il existe des directives techniques (DTA 4) pour le calcul du taux d’intérêt technique. Celles-ci constituent la base utilisée par les experts en caisses de pensions pour effectuer leur recommandation quant au taux d’intérêt technique à la caisse de pension. La directive technique stipule que le taux d’intérêt technique doit remplir deux conditions :
Au moment de l’introduction de la prévoyance professionnelle en 1985, le taux d’intérêt technique se situait à 4%. Il est aujourd’hui inférieur à 2%. La règle générale veut que pour 1% de réduction du taux d’intérêt technique, les réserves de capital doivent être augmentées de près de 10%. Une telle réserve supplémentaire entraîne une réduction du taux de couverture. CoOpera Fondation collective PUK, ou plus précisément son Conseil de fondation, a par conséquent décidé, sur recommandation des experts en caisses de pensions, de ramener à 1,75% le taux d’intérêt technique au cours des sept prochaines années. Actuellement, il se situe encore à 2,5%. Afin de pouvoir réduire le taux d’intérêt technique à 1,75%, nous procéderons à des provisions annuelles qui permettront de concrétiser ce changement en 2026. La réduction du taux de couverture peut ainsi être minimisée car répartie sur plusieurs années.
Taux de conversion
Dans toutes les caisses de pension, le taux de conversion est sous pression. L’année 2020 a nettement aggravé la situation. L’adaptation légale du taux de conversion obligatoire, qui reste à 6,8%, se fait encore attendre. L’adaptation du taux d’intérêt technique pour le réduire à 1,75% a aussi une influence sur le taux de conversion. CoOpera Fondation collective PUK, au travers du Conseil de fondation, a ainsi décidé d’adopter de nouvelles modifications pour les années 2022 à 2026. Par conséquent, le taux de conversion pour les hommes âgés de 65 ans et pour les femmes âgées de 64 ans passera à 5,8% en 2022. Puis à 5,6% en 2023, à 5,4% en 2024, à 5,2% en 2025 et à 5% à partir de 2026. Nous vous informerons par écrit des différentes étapes en janvier 2021 à l’occasion de l’envoi des certificats de prévoyance. Afin d’anticiper une éventuelle hausse de l’âge de la retraite des femmes à 65 ans, nous vous informerons aussi dès 2021 des prestations pour les femmes jusqu’à 65 ans révolus. Bien sûr, l’âge de la retraite ordinaire, fixé dans ce cas à 64 ans, reste en vigueur. À partir de 2022, le taux de conversion sera uniformisé, aussi bien pour les réductions (plus on part tôt à la retraite, plus le taux de conversion est bas) que pour les augmentations ou les ajournements (soit continuer de travailler au-delà de l’âge réglementaire de la retraite, qui est de 64 ou 65 ans). Cela signifie concrètement que toute réduction ou augmentation entraîne une différence de 0,15% par année. Pour les assurés pouvant déjà potentiellement prendre leur retraite, le taux de conversion baisse en dépit de l’âge qui augmente, en raison de la diminution effectuée sur les années 2022 à 2026. Du fait de la poursuite du travail, c’est-à-dire par le biais du financement des cotisations d’épargne et de la rémunération du capital à la fin de l’année, la rente devrait normalement augmenter. Vous trouverez les informations exactes sur votre certificat personnel de prévoyance 2021.
Pour plus de renseignements sur le taux d’intérêt technique et le taux de conversion, vous pouvez aussi consulter notre site internet sous la rubrique « Bon à savoir » https://coopera.ch/fr/bon-a-savoir.
Après des études d’économie en cours d’emploi dans les années 1990 et après avoir obtenu un diplôme supérieur de gérant de caisse de pension au tournant du millénaire, ma carrière dans la prévoyance a pris son cours. Et elle m’a mené jusqu’à ce jour à travers diverses fonctions spécialisées et dirigeantes auprès de grandes institutions de prévoyance. J’ai maintenant plus de 20 ans d’expérience de la branche à mon actif.
La prévoyance professionnelle est un milieu passionnant dans lequel l’humain et l’économie doivent pouvoir coexister en harmonie. Ces dernières années, l’instabilité de l’économie a créé un déséquilibre au détriment des assurés. En matière de prévoyance, de nombreux paramètres ont été rebrassés. Et c’est justement ce brassage qui rend ce domaine si intéressant et apporte une dynamique positive à une branche qui nous impose plus que jamais le défi d’assurer l’avenir de la prochaine génération tout en stabilisant les promesses de prestations sociales.
Nous devrons poursuivre nos efforts pour faire coïncider les prestations (de service) de qualité et de haut niveau, de même que la stratégie durable et génératrice de valeur de la fondation, avec les principes que défend CoOpera. Cette perspective est pour moi la principale source de motivation pour être présent avec les organes de fondation et mes collègues de travail pour nos clients et les assurés, et contribuer à garantir à notre fondation collective un développement sain.
André-Pierre Schmidt
« Nos débuts se sont déroulés dans un cercle très privé », se souviennent les deux fondateurs Ueli Baruffol et Balz Strasser. Pakka était une véritable « entreprise familiale ». La table de leur salon à Zurich fut reconvertie en une ligne de fabrication et les premiers sachets avec les précieuses noix purent être emballés et livrés avec l’aide de toute la famille.
Grâce à la grande expérience acquise et à la croissance organique du groupe, Pakka est aujourd’hui réputé expert en noix de production biologique issues du commerce équitable dans les régions du sud et pour tout ce qui concerne les chaînes de création de valeur des noix, à commencer par le conseil et le préfinancement des coopératives agricoles sur place jusqu’à la création de sa propre marque innovante, en passant par le commerce des produits bruts et semi-finis.
CoOpera et Pakka sont devenus partenaires cette année. À travers un prêt, CoOpera permet en autres le préfinancement de la saison des amandes ou soutient le financement du commerce des fruits secs de la maison Fruandes.
Les initiatives soutenues et encouragées par Pakka comptent notamment Elements & Fair Trade Alliance à Kerala en Inde, les sociétés Fruandes, Equiori et KardiaNuts en Colombie, Mountain Fruits au Pakistan, l’entreprise Anka en Géorgie et d’autres au Kenya et au Burkina Faso, pour n’en citer que quelques-unes.
Elements & Fair Trade Alliance à Kerala, en Inde – une importante contribution à la biodiversité
Pakka et Elements & Fair Trade Alliance à Kerala sont étroitement liés depuis les débuts du groupe et donc depuis 15 ans. Elements pratique le commerce non seulement de noix de cajou, mais aussi de café, d’épices et de produits à base de noix de coco. Seepja et Tomy Mathew impressionnent par l’incroyable engagement dont ils font preuve. Fair Trade Alliance Kerala (FTAK) contribue à ce que la biodiversité de la région soit préservée et veille à ce que les petits paysans puissent cultiver et entretenir leurs anacardiers et profiter des dépôts mis sur pied par l’organisme pour entreposer leurs récoltes. Le renforcement du statut de la femme au sein de la société, la promotion de la biodiversité et la sécurité alimentaire font partie intégrante du programme Fairtrade +3 de FTAK. La pression des prix sur le marché mondial a souvent pour conséquence que les agriculteurs privilégient les plantes cultivées les plus demandées au détriment d’autres variétés, plus anciennes, vouées à disparaître progressivement. La coopération avec Pakka contribue à freiner cette tendance. Toutes les matières premières qu’Elements & Fair Trade Alliance commercialisent sont à la fois issues du commerce équitable et certifiées biologiques.
Fruandes, en Colombie – une bénédiction pour les coopératives de petits paysans et les places de travail sur place
« Fruandes » vient de « Frutos de los Andes » que l’on peut traduire par : « fruits des Andes ». C’est ainsi que se présente la société du même nom dans la ville colombienne d’Ibagué, à environ 200 km à l’ouest de la capitale Bogotá. Fruandes est une entreprise socialement responsable qui a pour objectif de transformer sur place des fruits, et désormais également d’autres produits biologiques, produits localement. La société s’approvisionne en matières premières auprès de sept diverses coopératives de petits paysans issus de différentes régions des Andes colombiennes. Ces petits agriculteurs y cultivent des mangues, des physalis, des ananas, des bananes, des fruits du dragon/pitahayas, de la canne à sucre et du cacao selon des normes de qualité biologique strictes, qui sont ensuite transformés avec soin dans l’usine de production de Fruandes à Ibagué.
L’histoire du lien entre Pakka et Fruandes remonte à l’année 2008. Avec l’aide de Pakka, Fruandes a pu construire une nouvelle usine de transformation à Ibagué en 2017 pour créer de la valeur ajoutée et donc des emplois dans une région plutôt rurale. Aujourd’hui, l’entreprise exporte les fruits secs certifiés biologiques vers différents pays tels que le Canada, l’Italie, la France, les Pays-Bas, la Suède, la Suisse, le Japon et les États-Unis.
Pakka Géorgie, en Géorgie – pour des noisettes bio et plus de 1250 familles de petits paysans
La Géorgie a une longue tradition de culture de noisettes qui constitue une part importante de la production agricole du pays. Les noisetiers couvrent 42% des terres agricoles de Géorgie. Quatre régions y sont particulièrement importantes : Imereti, Samegrelo-Zemosvaneti, Guria et Kakheti. Ces régions, présentant un faible risque de gel tardif, offrent des conditions particulièrement adaptées pour la culture des noisettes. D’une manière générale, les noisettes sont peu exigeantes quant à la nature du sol, mais leurs fleurs ne supportent pas les températures inférieures à -8 °C.
En Géorgie, Pakka collabore depuis 2011 avec Anka, rebaptisée Pakka Géorgie depuis 2020, et a investi dans un site de production certifié par les labels de qualité les plus stricts. L’installation a une capacité de transformation de plus de 5000 tonnes de noisettes et de produits semi-finis. Pakka travaille en outre depuis 2013, avec l’aide de l’EPER (Entraide Protestante Suisse) et d’ADA (Austrian Development Agency), sur un projet PPP (partenariat public-privé) classique pour encourager les petits agriculteurs à cultiver des noisettes bio. D’ici 2022, ils veulent mettre en place une chaîne de création de valeur durable et certifiée bio pour les noisettes, en collaboration avec environ 1250 familles de petits agriculteurs cultivant chacune un à deux hectares de terres.
Mountain Fruits Company Pakistan – les amandes, pionnières du commerce équitable
Les amandes de la Mountain Fruits Farmers Association issues du commerce équitable au Pakistan sont uniques en leur genre. Des petits agriculteurs en cultivent plus de 40 variétés différentes, provenant pour la plupart des amandiers sauvages qui poussent traditionnellement dans cette région de la vallée de la Hunza, dans un décor géographique pour le moins impressionnant. Mais ces amandes issues du commerce équitable sont aussi intéressantes parce que cette norme n’existe pas depuis longtemps pour les amandes.
The Mountain Fruits Company (MFC) a été fondée en l’an 2000 et est à ce jour la seule entreprise au Pakistan à transformer et à exporter des fruits secs, noix et huiles de noix certifiés biologiques et équitables. Cette société a été créée dans le cadre d’un projet de développement de la fondation Aga-Khan. La mission initiale, à savoir l’amélioration et l’augmentation du revenu et de la gamme d’activités des groupements d’agriculteurs opérant dans cette région éloignée et en proie à des conflits qu’est le Gilgit-Baltistan, a toujours été maintenue.
Là-bas, les agriculteurs n’ont jamais utilisé de pesticides ou d’engrais chimiques pour leur culture. En septembre, au moment des récoltes, MCF achète entre 100 et 150 tonnes d’amandes aux quelque 1400 producteurs de la région. Au cours d’un processus automatisé, les amandes sont ensuite écalées et pré-triées grossièrement dans une usine construite spécialement à cet effet en 2010. Après cette procédure, les amandes sont une nouvelle fois vérifiées et triées à la main afin de réduire au minimum le risque de présence de corps étrangers. Ce travail est réalisé exclusivement par des femmes. Pakka collabore avec MFC depuis 2014 et lui rachète la quasi-intégralité de sa récolte d’amandes.
Le nom Pakka illustre la philosophie de l’entreprise
La marque de fabrique de Pakka est un commerce équitable à tous les échelons de la production. C’est ce crédo qui a donné l’idée du nom aux fondateurs de l’entreprise, puisque « Pakka » signifie en hindi « de bonne qualité », « authentique », « vrai ». L’entreprise de commerce équitable applique ces préceptes depuis le début, rigoureusement et avec succès, plaisir et reconnaissance.
Les motifs de l’intérêt de CoOpera Beteiligungen AG pour Pakka
Pakka a une longue et multiple expérience du développement de projets en faveur des petits paysans dans différentes régions. De son côté, CoOpera Beteiligungen AG ne pourrait y arriver par elle-même. Et c’est ainsi que Pakka et CoOpera Beteiligungen AG se sont trouvés et complétés. De plus, CoOpera s’engage auprès de fournisseurs importants dans le domaine du bio et de l’agriculture biodynamique. Et cette collaboration avec Pakka lui permet de refermer la boucle.
reCIRCLE est la solution suisse pour les emballages réutilisables dans la restauration take-away. Grâce au « lunchbox comme service », des milliers d’emballages jetables sont désormais économisés chaque jour. Et la tendance est fortement à la hausse. Quelque 1400 restaurants et entreprises font déjà partie du réseau national et proposent à leurs clients à l’emporter des boîtes reCIRCLE, rondes et couleur aubergine, en lieu et place de vaisselle jetable. Les clients paient 10 francs pour une boîte qu’ils peuvent échanger ou rendre dans tous les établissements partenaires. Ou ils peuvent également la nettoyer eux-mêmes. C’est comme ils le souhaitent ou selon ce qui leur convient le mieux en fonction de la situation. La boîte préserve toujours sa pleine valeur et est reprise à tout moment pour être échangée contre une nouvelle, une propre ou pour toute autre raison. Tout simplement génial.
Une boîte réutilisable pour réduire le volume des déchets
Le concept de la société bernoise reCIRCLE est simple et bien conçu et a convaincu durablement CoOpera Beteiligungen AG dès ses débuts. Les boîtes au design protégé, hygiéniques et recyclées, existent en cinq tailles différentes. Elles sont empilables, bien ventilées et dotées d’un couvercle adapté qui se referme bien. Les boîtes sont fabriquées à Einsiedeln de manière climatiquement neutre. Ces nouveaux récipients sont étanches, peuvent être utilisés au micro-ondes et ont une durée de vie prolongée tout en restant hygiéniques grâce à un matériau de fabrication de qualité. Parmi les entreprises partenaires, on peut citer des restaurants haut de gamme dans des sociétés, des stands de kebabs, des snacks-bars, le food truck du quartier, des buvettes, des stands de restauration extérieure et des établissements de restauration rapide. Le concept a toute une panoplie d’arguments à son actif.
Il offre aux entreprises ou aux particuliers plus de commodité et permet de préserver de précieuses ressources à chaque utilisation. Grâce à chaque récipient réutilisable, on peut éviter de jeter au moins 100 récipients à usage unique. Cela correspond à une économie d’environ 8 litres de pétrole ou 18 kilos d’émissions de CO2. Mais le plus manifeste : les montagnes de déchets et les poubelles débordant de vaisselle en plastique dans l’espace public diminuent à mesure que le succès de reCIRCLE grandit. Et les chefs d’entreprise jouent le jeu, à l’instar de BLS qui a offert 400 boîtes à son personnel.
Le coronavirus entraîne des défis, mais aussi une dynamique supplémentaire
Avec le coronavirus, le concept des boîtes réutilisables hygiéniques connaît un dynamisme supplémentaire. Ainsi, de nombreux établissements ont dû recourir davantage ou uniquement à la vente à l’emporter en raison de la pandémie, puisque la fermeture des restaurants ou le nombre limité de places assises a fait chuter les chiffres d’affaires.
Pour ses partenaires, reCIRCLE a rapidement mis au point un outil de commande en ligne. Il permet d’automatiser les commandes et donne ainsi la possibilité aux établissements de restauration affiliés de mieux planifier le nombre de repas à cuisiner et d’éviter à la fois le gaspillage de nourriture et les temps d’attente et l’accumulation de personnes devant ou dans les points de vente.
Les clients peuvent commander en ligne leur repas de midi ou du soir dans leur restaurant ou take-away favori et aller le chercher à l’heure souhaitée. Les établissements de restauration peuvent ainsi planifier de manière plus fiable, faire respecter plus facilement les règles de comportement, préparer les menus pour l’heure convenue et exploiter ainsi malgré la crise leur capacité de production.
Jeannette Morath, directrice de reCIRCLE, explique par ailleurs : « L’idée erronée que la vaisselle réutilisable présente plus de risques en matière d’hygiène que la vaisselle à usage unique est un grand problème pour notre environnement. Que la vaisselle soit jetable ou réutilisable, l’élément déterminant est une utilisation conforme de celle-ci. reCIRCLE livre aux restaurants partenaires un concept complet d’hygiène avec ses produits reCIRCLE et participe au mouvement « Clean&Safe ». Car reCIRCLE en est convaincue : il faut réutiliser maintenant plus que jamais ! » L'expérience et les chiffres donnent raison à reCIRCLE.
Dix employés, des chiffres dans le noir et un Swiss Economic Award
Quatre ans après son entrée sur le marché, deux tiers environ des restaurants qui proposent des mets à emporter et près d’un tiers des cantines et restaurants d’entreprise font partie du réseau de boîtes réutilisables. L’équipe reCIRCLE compte désormais dix collaboratrices et collaborateurs. L’entreprise est rentable depuis fin 2019. En septembre 2020, reCIRCLE AG a remporté le prestigieux Swiss Economic Award, ce qui lui a permis de se distinguer au niveau national.
Les motifs de l’intérêt de CoOpera Beteiligungen AG pour reCIRCLE
La fondatrice, Jeannette Morath, nous a convaincus au premier coup d’œil. Elle affiche une volonté acharnée de remplacer la vaisselle jetable par des alternatives optimales. Dans ce domaine, elle a accumulé une grande expérience pratique auprès des services publics. Une impression qui s’est confirmée au fil de la collaboration entre reCIRCLE et CoOpera Beteiligungen AG.
Nous sommes ravis pour reCIRCLE et Jeannette Morath que ces prestations aient été récompensées par l’obtention d’un Swiss Economic Award. Nous sommes convaincus que cette voie connaîtra une évolution réjouissante.
Dans tous les cas, merci de bien vouloir remplir au préalable le questionnaire de rachat et de nous le soumettre. Cela garantit que le montant peut être comptabilisé à temps et que vous recevrez le certificat fiscal pour 2020.
Vous avez momentanément perdu pied à la suite d’un accident, d’une grave maladie ou d’une crise majeure dans votre vie ? Nous vous aidons en douceur à envisager de nouvelles perspectives et des stratégies ciblées. Pour ce faire, nous coordonnons avec vous, au sein du réseau de soutien, votre réinsertion ou votre nouveau départ.
Case Management de RehaSchmiede
Notre travail pour vous commence là où des Care Managers et Case Managers internes à l’assurance peuvent intervenir : pour des tâches qui requièrent une formation thérapeutique de base ou dans des domaines spécialisés tels que le placement professionnel ou le job coaching. Case Management signifie pour nous trouver avec vous un chemin qui coïncide avec vos ressources et votre potentiel, sans perdre des yeux la réalité.
Vous-même, l’un de vos proches, un assuré ou un collaborateur souhaite activement se forger des perspectives durables. Vous recherchez l’assistance d’une personne spécialisée qui vous apporte une aide exhaustive et attentive lors de votre intégration et vous accompagne pas à pas et avec professionnalisme tout au long de cette réinsertion. Vous voulez prendre vos responsabilités et vous façonner un avenir de manière autonome et active.
« La combinaison d'engagement, d’empathie et de compétence que M. Bertsch apporte à RehaSchmiede à travers les cas qu’il suit nous a autant convaincus que les succès qu’il a obtenus à ce jour. Nous ne pouvons que recommander vivement Martin Bertsch dans son rôle de Case Manager (...). » Jonathan Bodenheimer, responsable Ressort CM, PKRück
RehaSchmiede offre à toute personne intéressée, et même gratuitement, un test de santé (https://www.rehaschmide.ch/gesundheitstest). Un premier pas pour se confronter personnellement et seul-e à sa nouvelle situation de vie. Afin de pouvoir définir ensuite de quelle manière RehaSchmiede peut soutenir activement une personne assurée, il faut organiser un entretien préliminaire. Pour ce premier entretien, nous avons pu fixer avec RehaSchmiede un prix forfaitaire de CHF 100.–. N’hésitez pas à en parler à votre département du personnel. Il est possible que l’employeur soit prêt à vous soutenir ou même à prendre à sa charge le prix forfaitaire. C’est avec plaisir que nous vous communiquons les coordonnées de RehaSchmiede :
RehaSchmiede | Integration mit Hand und Fuss
Hohfluhstrasse 2, 3852 Ringgenberg | Centre de consultation Berne : Gesundheitszentrum Bollwerk, 3011 Berne T +41 33 827 90 70 | M +41 79 703 96 37 | Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. | www.rehaschmiede.ch
Vous trouverez les points les plus importants à ce sujet dans le fichier PDF ci-joint2.82 MB (en allemand) Outre trois autres projets, la société reCIRCLE SA, cofinancée par CoOpera Beteiligungen AG, a pu elle aussi se présenter au Conseil fédéral dans la Maison Béatrice de Watteville. De plus amples informations suivront dans la prochaine newsletter. Restez à l’écoute. Nous poursuivons nos efforts.
Suite à la révision de la loi sur les prestations complémentaires (réforme des PC), il existe désormais des possibilités de poursuivre la prévoyance professionnelle sur une base volontaire selon l’art. 47a LPP. Les personnes assurées dont les rapports de travail sont interrompus par leur employeur à l’âge de 55 ans révolus peuvent à présent continuer à cotiser auprès de CoOpera Fondation collective PUK selon les mêmes conditions. Afin d’accepter la poursuite volontaire de la prévoyance professionnelle, il est obligatoire de nous remettre une copie de la lettre de licenciement émise par l’employeur. Par ailleurs, cette requête volontaire doit être déposée dans les 30 jours suivant le licenciement (nous enverrons directement un courrier). L’assuré doit financer les cotisations à la fois de l’employé et de l’employeur. Il peut en outre choisir de prolonger l’assurance uniquement pour les prestations de risque (décès et invalidité) ou également pour les cotisations d’épargne (rente de vieillesse). Dans tous les cas, les prestations de risque et les frais administratifs sont dus. Au plus tard, il est possible de poursuivre volontairement la prévoyance professionnelle jusqu’à l’âge de la retraite ordinaire. Si la personne assurée retrouve un emploi, la prestation de libre passage sera transférée à la nouvelle institution de prévoyance.
Désormais, il est possible de rembourser un versement anticipé EPL (encouragement à la propriété du logement) jusqu’à la naissance du droit réglementaire à une prestation de vieillesse.
Capital supplémentaire en cas de décès
À compter du 1er janvier 2021, CoOpera Fondation collective PUK offre la possibilité aux employeurs d’assurer également pour leurs employés un capital supplémentaire en cas de décès à hauteur du salaire AVS. Cette action entraîne une augmentation des cotisations de risque de 0,3%. Le cas échéant, le capital supplémentaire en cas de décès sera versé au conjoint, au partenaire (au concubin, si un contrat d’assistance le prévoit) ou aux ayants droit conformément à l’art. 39, al. 2 du règlement de prévoyance.
Rentes transitoires
Conformément à notre règlement de prévoyance, il est possible, après un rachat à hauteur des prestations réglementaires entières, de préfinancer une rente transitoire. Dès à présent, le règlement de prévoyance inclut les taux tarifaires correspondants.
Par ce rachat, CoOpera investit non seulement financièrement, mais aussi sur les plans conceptuel, culturel et social, en suivant l’exemple de l’ancienne fabrique Hanro, et crée avec brio un espace urbain polyvalent conjointement avec la Fondation Edith Maryon et denkstatt.
L’économie solidaire pour principe
Depuis l’intervention de CoOpera en 2015, le Ziegelhofareal est en excellente voie de devenir un nouveau lieu de vie, de travail et de culture à la fois animé, polyvalent et urbain. Dès l’affectation intermédiaire déjà, les locataires et usagers du site trouvèrent en CoOpera une partenaire compréhensive, tant en sa qualité de promotrice des aspects sociaux et culturels que dans son rôle protecteur des intérêts commerciaux pour l’ensemble du projet.
CoOpera décida de préserver la majorité des bâtiments. Elle confia le développement et le suivi de cette transformation urbanistique au bureau de planification bâlois denkstatt et à baubüro in situ. Plus de 11 000 mètres carrés étaient à leur disposition. Barbara Buser, directrice de denkstatt, imagina et dessina les plans d’un projet sur le modèle de Gundelinger Feld, à Bâle, où la grande diversité des locataires anime les lieux toute la journée et même les week-ends.
Premier Lichtblicke déjà au programme
Le festival culturel Lichtblicke, un événement annuel, est un bel exemple. Le Ziegelhofareal accueille un quart de son programme. Une preuve que le site joue un rôle-clé pour la scène culturelle de Liestal. Le complexe devient ainsi un lieu d’expérimentation pour de nouvelles formes et divers artistes. Là, ils sont accompagnés et soutenus. Ils s’approprient les espaces et proposent des idées que les concepteurs n’avaient jamais imaginées. Une dynamique fidèle à l’esprit de CoOpera.
Le joyeux mélange d’activités, de commerces et de locataires occupant actuellement les lieux pendant la phase de transition et d’affectation intermédiaire révèle que les locaux remis progressivement en état et facilement accessibles sont très demandés à Liestal. Ensemble, les entreprises et CoOpera cherchent et trouvent des solutions adaptées satisfaisant les attentes financières et apportant une valeur ajoutée au complexe. Le dialogue est la clé du développement de ce projet.
Atteindre de nouveaux sommets par le dialogue
Une autorisation spéciale délivrée par la commune de Liestal a permis de transformer la halle de mise en bouteille en salle d’escalade. Il s’agit à la fois de faire preuve d’ouverture d’esprit et d’examiner attentivement les projets réalistes appuyés par une étude de faisabilité. La ville et la population doivent se prononcer sur l’acceptation du nouveau plan de quartier conçu par denkstatt, baubüro in situ, CoOpera et la commune. L’issue de cette consultation décidera de l’avenir du projet.
L’ancienne brasserie joue un rôle charnière dans l’aménagement urbain proposé. Elle relie la vieille ville et le complexe. Une rénovation permettrait d’actualiser les normes de protection incendie, les installations sanitaires et la distribution électrique ainsi que de consolider la structure porteuse. Deux micro-brasseries sont déjà installées dans le Ziegelhofareal. Du moins jusqu’à ce que le nouveau plan de quartier entre en vigueur.
Logements participatifs bienvenus
Le plan de quartier prévoit une construction neuve pour la salle de brassage, le bâtiment le plus récent. L’apparence de l’immeuble dépendra des futurs occupants. Pour l’instant, seul le volume est défini. De manière générale, des études internes ont appuyé le morcellement du complexe. D’ailleurs, les petites unités commerciales au rez-de-chaussée fonctionnent bien. À Liestal, la demande pour ce genre de locaux reste élevée et l’offre limitée. Le concept d’urbanisme prévoit de transformer la Meyer-Wiggli-Strasse en une rue d’artisans. Les étages supérieurs devraient accueillir des logements alternatifs. Dans ce cadre, CoOpera peut envisager un projet participatif. Après une dernière révision, le nouveau plan de quartier a été remis au conseil communal. Il se prononcera sur son approbation au printemps 2021. Ce nouvel exemple de l’engagement de CoOpera Immobilien AG est sur la bonne voie.
Davantage d’argent, moins de valeur
Les caisses de pension qui investissent de préférence leur fortune dans l’économie financière ont certes subi un choc durant les quatre premiers mois de l’année, avec un rendement négatif de 3,9%, mais grâce aux masses d’argent en circulation toujours plus importantes (les banques centrales injectent à tour de bras des liquidités dans les marchés financiers, à l’image de la BCE qui vient de décider d’un programme de rachat de dette publique et privée à hauteur de 750 milliards d’euros d’ici la fin de l’année, NZZ 19.03.2020), le cours des actions, notamment, est déjà de nouveau à la hausse. Même si ces circonstances ont finalement pour unique effet de faire baisser la valeur de l’argent (il faut p. ex. payer davantage pour une action, non pas parce qu’elle a pris de la valeur, mais parce que l’argent en a perdu !), ces caisses de pension pourront probablement clôturer l’année sur un rendement positif. Sauf si une psychose collective du côté des investisseurs provoque une nouvelle chute des prix sur les bourses. D’un point de vue économique, la perte de valeur de l’argent est un processus discutable, car tôt ou tard chaque citoyen ou citoyenne finit par la ressentir.
Même si les mesures COVID-19 sont à nouveau progressivement levées à partir de mai 2020, la crise économique mondiale qui découlera de ces mesures ne fera quant à elle que commencer. CoOpera Fondation collective PUK a spontanément accordé aux locataires directement concernés par la fermeture imposée par le Conseil fédéral un rabais de 50% sur les loyers de mars et avril, afin d’éviter les faillites et les surfaces inoccupées qui en résulteraient dans nos immeubles commerciaux. CoOpera Fondation collective PUK pourra absorber sans problème le manque à gagner qui en découle.
Différences frappantes
En revanche, les conséquences sur les placements alternatifs, qui sont constitués chez CoOpera Fondation collective PUK de prêts et de participations (private equity) pour le financement de PME, ne sont absolument pas mesurables. Nous avons investi dans les aliments bio (Bio Development AG Seon CH et donc également Biomilk AG Worb CH, Bio Partner Schweiz AG Seon CH, Bio Company GmbH Berlin DE, ECORNaturaSi Verona IT, NOVUM GmbH Bischofsheim DE, Phönix GmbH Rosbach DE, Super BioMarkt AG Münster DE), un secteur qui a enregistré en raison du COVID-19 une augmentation de 25 à 40% des chiffres d’affaires. Les participations de CoOpera Beteiligungen AG sont partiellement touchées par une absence totale de revenus, p. ex. parce que les événements ne peuvent plus être organisés (Kompotoi AG). D’autres le sont davantage ou au contraire moins.
Ce n’est probablement que dans une année environ que nous pourrons mesurer les conséquences réelles de la pandémie. Nous sommes curieux de voir comment la situation se présentera rétroactivement dans quelques années.
Reichmuth Infrastruktur Schweiz KmGK a été fondée le 19 décembre 2014 en tant que société en commandite de placements collectifs de capitaux au sens des art. 98 ss. LPCC. La durée ordinaire de la société est de douze ans. Elle peut être prolongée une première fois de deux ans, puis plus tard d’une année. Les distributions de capital et de bénéfice aux commanditaires se font régulièrement sur toute la durée du fonds.
Celui-ci investit dans des actifs d’infrastructure qui constituent la base de l’engagement de la société. Les sociétés détiennent des investissements dans les trois segments suivants :
Fin 2019, le fonds d’infrastructure Reichmuth avait investi dans les entreprises suivantes :
Transports
Approvisionnement et évacuation
Il investit dans 8 à 15 installations liées à l’infrastructure dans ces trois secteurs. Pour les investisseurs, les critères ESG jouent un rôle de plus en plus important dans la sélection des placements de capitaux. Les segments de placement du fonds d’infrastructure, l’infrastructure sociale, le transport ainsi que l’approvisionnement / évacuation sont des aspects ESG fondamentalement positifs. Auparavant, les critères ESG étaient certes pris en compte dans le processus, mais pas explicitement cités ou consignés. Au cours de cette année, Reichmuth & Co Investment Management AG intégrera encore d’autres aspects ESG dans le rapport trimestriel. Voir aussi https://www.reichmuthco.ch/instrumente/infrastruktur.html.
Partenaire
Le règlement de prévoyance de CoOpera Fondation collective PUK prévoit que le partenaire (= concubin-e) est assimilable à un conjoint s’il remplit un certain nombre de conditions. La personne désignée comme partenaire peut être de même sexe ou de sexe différent. Du point de vue actuariel, le point important est cependant qu’un contrat dit d’assistance, signé conjointement par la personne assurée et le/la partenaire bénéficiaire, doit nous avoir été remis du vivant de la personne assurée. Vous trouverez le formulaire à nous renvoyer sur www.coopera.ch/documents/assurés/contrat d'assistance. Le contrat d’assistance vise à aligner en termes de prévoyance la position du partenaire survivant sur celle de l’époux ou de l’épouse. Bien entendu, certaines conditions doivent là encore être remplies pour pouvoir bénéficier de prestations ; à titre d’exemple, la personne assurée et la personne bénéficiaire (partenaire) ne doivent pas être mariés ni liés par un partenariat enregistré et vivre une relation de couple exclusive en ménage commun depuis au moins 5 ans sans interruption au même domicile. Les conditions précises sont également énumérées dans notre règlement de prévoyance. Mais l’équipe de prévoyance se tient aussi volontiers à votre disposition pour répondre à vos questions.
Bénéficiaire
Si une personne assurée active décède avant de percevoir une rente de vieillesse et avant l’âge effectif de la retraite sans qu’il en résulte un droit à une rente de conjoint ou de partenaire ou encore à une rente pour conjoint divorcé, il existe un droit au capital en cas de décès. Le capital en cas de décès comprend la prestation de sortie (prestation de libre passage) disponible au moment du décès. Le droit à percevoir un capital en cas de décès se fait selon un ordre de priorité indépendant du droit de succession.
Pour définir des bénéficiaires auprès de CoOpera Fondation collective PUK, il existe également un formulaire à remplir et à nous renvoyer. Vous le trouverez sur www.coopera.ch/documents/assurés/béneficiares.
Le fait de verser le capital en cas de décès aux ayants droit selon l’ordre défini dans le règlement de prévoyance permet de garantir que, si vous êtes célibataire sans relation de couple (pas de conjoint ni de partenaire), vos enfants adultes, vos parents ou vos frères et sœurs pourront le cas échéant percevoir votre avoir disponible. Nous vous recommandons vivement d’étudier avec attention les dispositions réglementaires afin de pouvoir décider si vous voulez nous adresser ou non une déclaration écrite pour désigner un ou des bénéficiaires. Les ayants droit sont répartis en trois groupes selon un ordre d’attribution ne pouvant être modifié. Cela signifie aussi par exemple que vous n’avez pas la possibilité de léguer votre avoir à des organisations d’utilité publique. Au sein de ces groupes d’ayants droit, il est toutefois possible de définir des parts variables. Par exemple si vous n’avez plus de parents, mais deux frères ou sœurs. Selon le règlement de prévoyance, le capital en cas de décès serait réparti dans ce cas à part égale entre ces deux personnes. Si ce n’est pas ce que souhaitez, vous pouvez définir par le biais d’une déclaration concernant les bénéficiaires lequel ou laquelle de vos frères et sœurs a droit à quelle part du capital en cas de décès. Là aussi, l’équipe de prévoyance répond volontiers à vos questions.
Jeune physicien, j’ai décidé après mon doctorat à l’Université de Berne de donner à mon parcours professionnel une orientation un peu différente. Et c’est ainsi que j’ai accepté en 1999 un poste de chef de projet chez Aon Chuard Consulting à Berne. Au vu de mon intérêt croissant pour la prévoyance professionnelle, j’ai finalement décidé de suivre une formation d’expert en assurances de pension que j’ai achevée en 2004.
Depuis 2007, je suis directeur de la société Pittet Associates SA L’ouverture de notre bureau de Berne en 2008 m’a donné la possibilité de faire connaître notre société en Suisse alémanique également. Nous conseillons aujourd’hui, outre nos clients romands, aussi diverses institutions de prévoyance de tailles variables dans la région de Berne et je suis ravi de pouvoir accompagner également CoOpera Fondation collective PUK ces prochaines années.
Pour le reste, je m’engage aussi volontiers dans la vie associative et suis membre du comité de la Chambre suisse des experts en caisses de pensions ( CSEP ). L’augmentation de l’espérance de vie, l’évolution démographique, mais aussi le faible niveau des taux d’intérêt donnent souvent une image peu réjouissante de notre branche. Il est de mon devoir de trouver, même dans ces conditions, une solution adéquate pour l’institution de prévoyance et de conseiller le Conseil de fondation dans ce sens. Au vu des caractéristiques et particularités spécifiques à la caisse, trouver des solutions optimales et durables représente un défi particulièrement important. Mais c’est justement ce type de défi qui rend mon travail passionnant et varié.
Étant donné qu’un membre quittera le Conseil de fondation fin juin en raison de son âge, le Conseil de fondation a décidé le 4 mars 2020 de réduire le nombre de membres à 8 jusqu’à la fin du mandat en cours ( soit 2021 ) et d’introduire ainsi une représentation paritaire.
Représentantes et représentants des salariés :
Annett Hofer, Christine Jost, Romana Tomasi et Gerold Aregger
Représentantes et représentants des employeurs :
Katharina Detreköy, Marc Desaules, Peter Tschannen ( IND )
et Niklaus Schär ( IND )
( IND = indépendants )
Institutions: 560 (518)
Assurés: 5'437 (4'983)
Rentiers: 1'422 (1'197)
CSPUK Version succincte 2019 FR
Si vous souhaitez lire le rapport annuel détaillé 2019, vous pouvez le consulter en ligne sous https://coopera.ch/fr/document/rapports-annuels-cspuk.
Tous les rapports annuels d'autres institutions CoOpera sont également disponibles sur notre page d'accueil (seulement en langue allemand). Voici les rapports:
CoOpera Beteilungen AG: https://coopera.ch/dokumente/jbcbag
CoOpera Immobilien AG: https://coopera.ch/dokumente/jahresberichte-ciag
Terra et Habitare https://coopera.ch/dokumente/jahresberichte-terra-u-habitare
La liste des cotisations est à votre disposition à tout instant. Les mutations de salaire peuvent également être traitées par une liste pour tous les employés. Un autre effet secondaire positif est également à noter : grâce à l’utilisation de l’outil en ligne, les frais administratifs de l’année suivante seront moins importants. Si vous n’êtes plus en possession des données d’accès, prenez contact avec votre conseiller à la clientèle qui se fera un plaisir de vous aider.
En tant que salarié, vous recevez lors de votre entrée les documents requis pour l’outil en ligne. Vous avez ainsi en tout temps accès à vos données avec toutes les informations importantes. Une simulation de départ à la retraite est également possible.
Si, en tant qu’employeur, vous ne travaillez pas avec l’outil en ligne mais utilisez les formulaires disponibles sur notre site internet, nous vous serions reconnaissants de toujours les télécharger directement à partir du site et de ne pas utiliser de formulaires déjà photocopiés. Nous nous efforçons en effet de constamment tenir les formulaires à jour. C’est pourquoi nous vous remercions de bien vouloir toujours utiliser les formulaires les plus récents afin de pouvoir nous transmettre les informations correctes désirées.
Conseiller à la clientèle
Un conseiller à la clientèle vous est assigné, en votre qualité d’employeur comme de salarié. Vous trouverez le nom, le numéro de téléphone direct et l’adresse e-mail de votre conseiller sur tous les courriers que nous vous adressons. Ainsi, si vous désirez le joindre par téléphone, vous n’avez pas besoin de passer par la centrale téléphonique et pouvez l’appeler directement.
Sortie à partir de l’âge de 58 ans
Sortie de la caisse de pension à partir de l’âge de 58 ans. La sortie volontaire de la caisse ou la résiliation du contrat à partir de 58 ans donnent lieu à de nombreuses questions. « Que va-t-il se passer ensuite ? Je suis trop jeune pour prendre ma retraite anticipée. » Deux possibilités s’offrent à vous dans cette situation :
Sortie avec transfert de la prestation de libre passage à la nouvelle institution de prévoyance, cela dans le cas où vous changez d’emploi à 58 ans ou plus, où vous avez un nouvel employeur et adhérez à une nouvelle institution de prévoyance.
Sortie avec retraite anticipée dès l’âge de 58 ans. Vous avez dans ce cas le choix entre la perception d’une rente, un versement en capital (attention, demander cette option au plus tard 1 mois à l’avance) ou une combinaison des deux, c’est-à-dire une partie du versement sous forme de rente et une partie sous forme de capital. Étant donné que vous n’avez pas encore atteint l'âge de la retraite ordinaire, le taux de conversion est réduit. Vous trouverez les informations correspondantes directement sur votre certificat de prévoyance.
Vous quittez la caisse parce que vous avez perdu votre emploi ou avez vous-même résilié votre contrat de travail et vous n’avez pas encore de nouveau poste en vue ?
Mais vous n’avez pas envie de prendre votre retraite anticipée ? En vertu de l’art. 2, al. 1bis de la loi sur le libre passage, vous pouvez demander que votre prestation de sortie soit placée sur un compte de libre passage si vous souhaitez continuer d’exercer une activité lucrative et vous êtes inscrit au chômage. Pour pouvoir vous verser la prestation due, nous avons impérativement besoin de la confirmation de votre inscription à l’assurance-chômage.
Avez-vous d’autres questions ? Nos conseillers à la clientèle se tiennent à votre entière disposition pour y répondre.
Certains louent la prévoyance vieillesse suisse comme étant l’une des meilleures au monde. D’autres affirment que le principe des 3 piliers est dans une situation critique, voire en train de s’effondrer. L’AVS serait arrivée au bout de ses possibilités, le 2e pilier tombé dans le piège du rendement et de la redistribution, et le 3e pilier souffrirait de l’énorme pression à laquelle il est soumis en raison des attentes qui pèsent sur lui. Femme politique au niveau fédéral, Anita Fetz apportera des renseignements sur le discours politique tenu en matière de prévoyance vieillesse, répondra aux questions en direct sur la prévoyance vieillesse à long terme, et démontrera les approches poursuivies par le conseiller fédéral Alain Berset. Entrepreneur et auteur, Matthias Wiesmann s’attaquera à la question de la capitalisation. Des ébauches de solution pour le futur de la prévoyance vieillesse seront élaborées en groupes de séminaire animés de manière professionnelle. Les thèmes abordés seront les suivants : argent et solidarité, coûts AVS/LPP, questions générales sur la prévoyance, capitalisation/répartition. Inscriptions pour le séminaire au Kosthaus de Lenzbourg ouvertes dès à présent sur Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Attention, le nombre de places est limité. L'assemblée est en allemand.
Vous pouvez trouver le programme ici.101.41 kB
Dans le même temps, le règlement relatif à la constitution et la dissolution de provisions et de réserves de fluctuation est adapté dans ce sens par le biais de la suppression de l’art. 6. Les provisions existantes constituées pour la compensation du renchérissement seront dissoutes avec le bilan annuel 2019 et utilisées pour la baisse du taux d’intérêt technique.
CoOpera entend adapter les rentes de vieillesse en cours au renchérissement. Elle gère à cet effet une provision pour compenser le renchérissement. Cette provision est déterminée de façon à ce qu’elle puisse compenser le renchérissement attendu au cours des prochaines trois à cinq années pour les rentes de vieillesse en cours et attendues. Cette provision se monte toutefois à 10% au maximum du capital de couverture des bénéficiaires de rentes de vieillesse. Cette provision peut également être utilisée pour financer une éventuelle compensation du renchérissement en faveur des rentes d’invalidité et de survivants surobligatoires. Il appartient au Conseil de fondation de décider de la compensation du renchérissement accordée.
Adaptations du règlement de prévoyance 2020
La session de novembre a également vu l’adoption par le Conseil de fondation des adaptations du règlement de prévoyance 2020. Outre quelques adaptations purement rédactionnelles, les modifications suivantes sont effectives :
- Art. 8 Assurance externe ; l’assuré peut désormais décider s’il verse des cotisations de risque et d’épargne ou uniquement des cotisations d’épargne.
- Art 11 Salaire annuel ; l’alinéa 2 est supprimé et les éléments de salaire tels que les gratifications ou les cadeaux pour ancienneté de service sont intégrés à l’alinéa 1.
- Art. 15 al. 2 Âge de la retraite ; la condition fixant une durée d’assurance minimale de 5 ans est supprimée.
- Art. 15 al. 8 ; en cas de réaffiliation après un départ en retraite, la nouvelle prestation de vieillesse n’est plus versée que sous forme de capital.
- Art. 23 al. 10 nouveauté ; en cas de décès d’une personne assurée ou d’un bénéficiaire de prestations d’invalidité avant d’avoir atteint l’âge ordinaire de la retraite, les apports facultatifs effectués en faveur de CoOpera Fondation collective PUK au cours des 5 dernières années sont versés sous forme de capital en cas de décès supplémentaire, dans la mesure où les prestations pour survivants ne sont pas définies en fonction de l’avoir de vieillesse dans le cadre du plan de prévoyance.
- Art. 32 al. 6 Prestation en capital ; les retraits en capital partiels peuvent être demandés sous la forme d’un montant fixe ou en fractions de l’avoir de vieillesse.
- Art. 32 al. 9 ; un bénéficiaire de rente d’invalidité peut désormais lui aussi exiger, une fois qu’il a atteint l’âge ordinaire de la retraite, un versement unique sous forme de capital au lieu d’une rente de vieillesse.
- Art. 33 al. 3 Rentes pour enfants de personne retraitée ; le montant des rentes annuelles pour enfants de personne retraitée s’élève à 20% de la rente de vieillesse en cours (jusqu’à présent uniquement rente pour enfants de personne retraitée LPP).
- Art. 35 al. 14 Rente de conjoint ; le droit à une rente de conjoint prend fin avec le décès du conjoint survivant ou avec son mariage.
- Art. 43 al. 3 Libération du paiement des cotisations ; supplément stipulant que les libérations du paiement des cotisations ne sont garanties que si la durée de la libération du paiement des cotisations est au moins égale à 30 jours.
- Art. 70 al. 3 + 4 Les dispositions transitoires sont annulées.
Capital en cas de décès supplémentaire
À compter du 1er janvier 2021, CoOpera offrira à ses employeurs assurés la possibilité de garantir un capital en cas de décès supplémentaire à hauteur d’un salaire AVS à 100%. Si une personne assurée active ou un bénéficiaire d’une rente d’invalidité venait à décéder, le capital en cas de décès serait versé en complément des prestations pour survivants. Le capital en cas de décès supplémentaire entraîne une augmentation des cotisations de risque de 0,3%.
Ajustement des cotisations d’épargne
Nous attirons votre attention sur le fait que, en tant qu’employeur, vous avez la possibilité d’augmenter les cotisations d’épargne actuelles pour les collaborateurs. Cela fait alors office de mesure de compensation afin d’amortir la réduction du taux de conversion (2020 = 6,2% et 2021 = 6% pour les femmes de 64 ans et les hommes de 65 ans). Nous vous conseillerons volontiers pour l’aspect administratif de cet ajustement.
Cotisation FG (fonds de garantie)
Le fonds de garantie LPP est une institution qui concerne les institutions de prévoyance enregistrées et dont la mission est entre autres, conformément à l’art. 48 LPP, de rembourser les subsides pour structure d’âge défavorable. Jusqu’à aujourd’hui, l’employé et l’employeur payaient tous deux une cotisation sur le salaire soumis à la LPP. Le montant de cette cotisation s’élève à 0,12% du salaire LPP et elle est répartie de manière proportionnelle entre l’employeur et l’employé. CoOpera Fondation collective PUK a décidé qu’à compter du 1er janvier 2020, ces cotisations ne seront plus exigées auprès des assurés et des employeurs, mais financées en tant que caisse de pension. Il en résultera donc une légère baisse de vos frais. Tout subside éventuel calculé par le fonds de garantie LPP ne sera par conséquent plus crédité à l’employeur mais à CoOpera Fondation collective PUK puisque le financement sera intégralement assuré par cette dernière.
Brigitte K., depuis combien de temps êtes-vous cliente d’Öpfelbaum ?
Brigitte K. : Je crois que je peux me décrire comme une « cliente de la première heure ». Je faisais déjà mes achats chez Öpfelbaum il y a trente ans de cela.
Quelle est la première chose que vous avez remarquée en entrant dans le nouveau Öpfelbaum ?
Le nouveau Öpfelbaum est beaucoup plus spacieux et tout y semble plus frais. Le rayon Légumes de l’ancien magasin était plutôt bien mais sa présentation est aujourd’hui beaucoup plus accueillante. La joie que suscite ce nouveau magasin est également perceptible du côté de ses collaborateurs. À chaque fois que j’entre dans l’Öpfelbaum, je suis accueillie dans une ambiance radieuse.
Que pensez-vous du nouveau concept intégrant deux grands espaces comptoir et bistrot ?
J’aime beaucoup ces deux espaces qui contribuent à redonner du cachet à l’Öpfelbaum. J’entrevois tout de même de possibles améliorations pour l’espace bistro. Il n’est pas encore suffisamment accueillant à mon goût. Lui ajouter des éléments de décoration permettrait déjà de lui apporter plus de valeur.
Que venez-vous acheter à l’Öpfelbaum ?
En fait, je fais presque tous mes achats à l’Öpfelbaum. Il n’y a que la viande et le poisson que j’achète à la boucherie toute proche. Et puis, je vais de temps en temps au marché aussi. Me rendre au marché fait tout simplement partie de mes habitudes et j’aime ressentir l’agitation qui y règne.
Qu’appréciez-vous particulièrement dans le nouveau Öpfelbaum ?
Le fait de trouver ici un large éventail de produits régionaux, ce qui couvre tous mes besoins. J’accorde une grande importance à la production bio et au commerce équitable. À Uster, Öpfelbaum est le seul magasin qui répond à ces exigences.
Bio Partner cherche des entrepreneurs bio
Avec la réouverture d’Öpfelbaum, le programme « Renaissance » a été lancé avec succès. Bio Partner encourage les personnes ayant un fort esprit entrepreneurial à ouvrir leur propre magasin bio et à suivre l’exemple d’Öpfelbaum. Mais en rester au stade des encouragements ne suffit pas. Bio Partner y met aussi du sien et souhaite épauler les entrepreneurs pour que ceux-ci réalisent leur projet. Bio Partner est un partenaire à l’écoute des personnes qui aiment l’innovation, qui ont le sens des affaires et qui ont envie de se lancer de nouveaux défis. Le grossiste en produits bio souhaite contribuer, en collaboration avec des entrepreneurs courageux, à rendre ainsi le secteur du bio plus diversifié et plus attrayant.
https://www.biopartner.ch/fr/renaissance
Vous aussi, devenez entrepreneur bio :
Bio Partner Schweiz AG
Bio Partner Schweiz AG est le premier prestataire de services et grossiste sur le marché bio suisse. Plus de 250 collaborateurs proposent aux clients des commerces spécialisés, commerces de détail, établissements gastronomiques et milieux industriels un assortiment complet de produits bio. Sa mission principale est de fournir une contribution spécifique pour une agriculture durable et assurant les moyens d’existence, un commerce spécialisé dans le bio solidement établi et une disponibilité élevée de denrées biologiques de très haute qualité pour des consommateurs conscients.
À Hazoua, dans le sud tunisien, la coopérative biodynamique Beni Ghreb a pu se construire un avenir pérenne grâce au soutien d’experts et de donateurs suisses. En 2000, 140 familles d’agriculteurs, issues de la tribu bédouine des Beni Ghreb, se sont regroupées pour commercialiser ensemble leurs dattes et obtenir les certifications Fairtrade et biodynamique.
Cette initiative était motivée par la situation stressante dans laquelle se trouvaient ces familles. En effet, dans les structures de commercialisation aux lois dignes du Far West, le droit de l’acheteur le plus puissant prime sur celui des petits producteurs non organisés. Et il ne faut pas compter sur l’aide des distributeurs pour s’affranchir de la culture de « l’argent que l’on gagne une fois par an » et des acheteurs douteux.
Le seul moyen pour les agriculteurs d’assurer eux-mêmes la vente de leurs produits était de créer leur propre centre de transformation. Mais cette initiative a immédiatement généré de nouveaux problèmes. Confrontés aux questions et aux souhaits des consommateurs, les agriculteurs ont dû s’initier à une culture de la communication et la mettre en pratique.
Les dattes Beni Ghreb sont aujourd’hui synonymes de label de qualité
Depuis de longues années, les agriculteurs nourrissaient l’ambition de produire de manière durable, à partir de leurs propres ressources et sans pesticides. Ils ont finalement emprunté une nouvelle voie, loin de la commercialisation anonyme. Dans le commerce spécialisé bio, les dattes Beni Ghreb sont aujourd’hui réputées pour leur qualité ainsi que pour l’engagement écologique et social dont font preuve les familles paysannes.
CoOpera soutient la coopérative depuis de nombreuses années. Elle lui a d’abord octroyé un crédit de campagne puis s’est aussi investie en tant qu’associée. CoOpera a su, au bon moment, encourager les agriculteurs à adopter des formes de collaboration plus contraignantes. Elle les a également accompagnés dans un processus de transition visant à faire adopter une orientation plus professionnelle à leur projet pionnier d’exploitation agricole biologique.
Du projet presque familial avec une exportation de dattes limitée à 60 tonnes par an est née une société d’exportation de taille moyenne. De plus en plus de familles ont depuis rejoint l’initiative, garante de leur avenir. Actuellement, un nouveau business plan est en cours d’élaboration et une orientation plus offensive sur le marché est envisagée. La coopérative a augmenté son volume d’exportation à 1000 tonnes. Les dattes Demeter doivent arriver sans perte, et par la voie la plus judicieuse et la plus rentable, jusqu’aux consommateurs conscients.
La maison d’hôte écologique, un élément clé
L’étape décisive : une maison d’hôte
L’obtention du fameux label qui distingue les meilleures dattes du marché est certes importante, mais l’épanouissement personnel d’hommes et de femmes tient tout autant à cœur à l’association. Preuve en est la construction de la nouvelle maison d’hôtes qui a pu voir le jour grâce à son soutien.
Hazoua, ville de plus de 7000 habitants, était dépourvue de maison d’hôtes. Les gens de passage désireux (ou plutôt « contraints » diront la plupart des Tunisiens) d’y passer la nuit, n’y trouvaient rien, hormis une station-service, des cafés avec terrasse occupés par des hommes désœuvrés ainsi que quelques échoppes avec les denrées alimentaires de première nécessité.
Très tôt, les agriculteurs de la coopérative ont eu l’idée de bâtir leur propre maison d’hôtes pour pouvoir héberger tous leurs visiteurs – des amateurs de dattes aux inspecteurs chargés de contrôler les productions bio. Mais dans les campagnes, la tradition musulmane s’accommode peu de la culture du « bed and breakfast ». Accueillir des étrangers (hommes) sous son propre toit est compliqué, d’autant que ce sont généralement les femmes qui dirigent la maison. Construire une maison d’hôtes par leurs propres moyens s’imposait donc comme le parfait chaînon complémentaire de leur projet. Aussitôt dit, aussitôt fait : toutes les forces furent bientôt mobilisées !
Mais c’était sans compter sur le régime d’un dictateur corrompu et sur la tourmente révolutionnaire qui a suivi. De nombreux Européens s’en inquiétaient et renonçaient à leur voyage. De plus, les travaux n’avançaient que lentement. Le terrorisme post-révolutionnaire qui a sévi dans le pays a réduit à néant le tourisme individuel en Tunisie. Aujourd’hui, plus aucun voyageur saharien ou presque n’est prêt à se doucher une dernière fois sur le sol tunisien avant de disparaître dans le désert.
La composition de la clientèle a changé
Une maison pour tout type d’hôtes
Pendant le peu de temps libre à leur disposition entre l’entretien des palmiers et la récolte des dattes, les agriculteurs n’ont pas ménagé leurs efforts pour sécher les briques d’argile, maçonner et travailler le bois. La maison d’hôtes est aujourd’hui prête à accueillir des visiteurs venus d’Europe, des quatre coins du monde mais aussi de la région.
Entre-temps, un grand nombre de Tunisiens et Tunisiennes, d’écoles, de groupes de projet et autres ont en effet eu vent de l’initiative conduite à Hazoua. L’agriculture biodynamique développée, la technique d’irrigation économe en eau utilisée, la culture de plantes fourragères tolérantes au sel mise en œuvre, les mesures d’économie d’énergie entreprises ou encore la qualité premium des dattes obtenue sont autant de sujets qui suscitent l’intérêt.
Tous ces visiteurs – souvent des étudiants et des jeunes désireux de lancer leur propre projet en Tunisie – recherchent l’échange et l’inspiration dans cette oasis. Ils souhaitent passer la nuit à Hazoua, se réunir, se restaurer et entreprendre des excursions. Mais leurs moyens financiers sont très limités, eux-mêmes étant en partie tributaires d’une aide.
Échanger sur de précieux exploits avec des individus partageant les mêmes convictions
Comment soutenir le projet ? La coopérative se pose la question. Ces dernières années, les agriculteurs d’Hazoua ont acquis un grand savoir-faire pour s’assurer un avenir dans un monde globalisé. Ils ont réussi à échapper au marché anonyme. Face au changement climatique galopant, ils ont trouvé des solutions pour préserver leurs précieuses ressources, telles que la terre, l’eau, la biodiversité et l’énergie. D’autres tentent également de réaliser ce genre d’exploits brillants.
En cette période de crise, la maison d’hôtes d’Hazoua pourrait devenir une oasis représentative d’un mode de vie écologique et autonome en Tunisie. S’il devenait possible de limiter les coûts de séjour pour les personnes intéressées par le projet et d’ouvrir l’établissement pour des conférences, des visites guidées, des séminaires et des excursions, la maison d’hôtes écologique afficherait complet ! De l’avis des responsables, le projet pourrait constituer un point de convergence majeur pour le développement en Tunisie. Il serait donc regrettable, par simple manque de touristes européens, d’interrompre le chantier juste avant son achèvement et de laisser la maison vide.
Appel aux dons
Grâce aux dons, nous entendons soutenir la maison d’hôtes mais aussi encourager les agriculteurs d’Hazoua à partager leurs connaissances et leur expérience acquises grâce au projet en Tunisie et à coopérer avec des personnes prêtes à s’engager pour le développement de leur pays. Une entreprise à laquelle la maison d’hôte pourrait apporter une contribution déterminante.
Nous nous réjouissons de vos dons et de vos suggestions concernant le projet. Nous nous tenons à votre disposition pour de plus amples informations.
Reto Ingold, service Écologie et innovation, Bâle
Compte spécial dons chez ACACIA, Bâle, compte ACACIA 2.488.0 8392
CP 40-963, IBAN CH13 0839 2000 0000 2488 0 BIC RAIFCH22XXX
Images et copyright: Reto Ingold
Rien de nouveau, puisque le Conseil national, dans les années 1970, était lui-même déjà dépassé par ces questions. En tous les cas, le Conseil des États a renversé l’ouvrage du Conseil national dès que son tour fut venu. Le système n’aurait pas pu être financé.
Or, l’idée de la prévoyance vieillesse est de prime abord très simple : l’économie a pour mission de prendre soin des personnes qui ne sont pas encore ou qui ne sont plus dans la vie active. Des allocations pour enfants sont versées, des écoles, construites et des rentes vieillesse et invalidité, allouées. Mais quelle est « l’interface » ou la « pompe à essence » depuis laquelle un peu du cycle de création de valeur du système économique est reversé aux personnes qui n’exercent plus d’activité lucrative (limitons-nous à ce groupe) ?
Il y a 50 ou 100 ans, la réponse était évidente, puisque la création de valeur était alors liée au déploiement d’un grand nombre de travailleurs : des cotisations allaient être retenues sur le salaire. Prenons un exemple clair : lorsque l’AVS a été instaurée après la Seconde guerre mondiale, l’agriculteur qui devait récolter son foin était assisté d’une demi-douzaine de personnes : l’une conduisait le cheval, l’autre se trouvait perchée sur le char à foin, deux autres lui jetaient le foin avec leur fourche et deux autres encore (souvent des femmes ou des enfants) ratissaient derrière le char. Six personnes travaillaient alors, et aujourd’hui, il n’y en plus qu’une seule, assise sur son tracteur. Voilà ce qu’on appelle la rationalisation. En principe, six personnes versaient alors des cotisations salariales à la prévoyance vieillesse – et seulement une seule aujourd’hui. La remorque autochargeuse ne compte pas.
Ces changements ont-ils incité les milieux politiques ou les experts à revoir le système ? Pas du tout. Le fait que l’on finance en complément l’AVS avec des pourcentages de TVA est aujourd’hui largement ressenti comme une rupture systémique. Le fait que la remorque autochargeuse pourrait aussi compter n’est pas remis en question, bien que ceci soit malgré tout pratiqué dans les faits. Supposons qu’il existe un fonds « char à foin » qui finance la remorque autochargeuse et qui est mis à disposition (comme c’est le cas pour les banques de machines dans les coopératives agricoles ou une société européenne de financement de matériel ferroviaire), les institutions de prévoyance professionnelle pourraient acquérir des parts de fonds de placement et verser des rentes grâce aux recettes. C’est exactement ce que l’on fait dans le 2e pilier. Il est donc faux de prétendre que le capital ne contribue pas à la prévoyance vieillesse.
Ce qui complique l’idée esquissée précédemment est surtout le décalage entre le paiement et le versement introduit avec le 2e pilier resp. le système de capitalisation. Soudain, il faut « stocker » l’argent, et diverses hypothèses pouvant se réaliser sur plusieurs décennies doivent être envisagées, surtout en ce qui concerne le développement économique, l’évolution des taux, etc.
Une autre hypothèse se retrouvant actuellement souvent au centre du débat est l’espérance de vie. Vivre plus longtemps, c’est bénéficier plus longuement d’une rente. Cela concerne, du moins de prime abord, aussi bien le 1er que le 2e pilier de manière identique. Si le 1er pilier est alimenté par la bonne « interface », cela ne doit pas poser problème. Car tant que le performance économique (PIB) par habitant augmente ou du moins est stabilisée, ce qui est actuellement le cas indépendamment du vieillissement et du pourcentage croissant de chômeurs (réfugiés), le financement des rentes est garanti (ou peut l’être).
Il reste à formuler des hypothèses concernant le développement économique : il est évident qu’aucun système de rentes ne peut fournir plus sur la durée que ce que l’économie donne. Il faut donc intégrer ici un élément de contrôle liant l’évolution des rentes à l’évolution économique, idéalement avec un volant de fonds propres suffisant pour éviter les durcissements.
Le conseiller national radical et industriel A.C. Brunner (Landis & Gyr) a constaté au cours des débats des années 1970, que le système de répartition (AVS) affichait un niveau de rendement approchant les 100% – à la différence du système de capitalisation. À cet égard, il est considéré que des coûts de gestion des capitaux équivalant au montant d’une rente annuelle sont générés, par assuré, tout au long de la durée de cotisation et de versement. Cette question a fait l’objet de débats enflammés lors de la discussion sur la conversion (« clause des rentes »). Ce qui n’a jamais été discuté sérieusement, ni lors des débats sur la LPP dans les années 1970, est l’influence économique des immenses volumes de capitaux épargnés. Le fait que le prix du terrain augmente fortement est une réaction logique du marché, mais pas un effet secondaire d’une construction boiteuse.
Quels rôles joueront à l’avenir les systèmes de répartition et de capitalisation ? Il serait opportun que les experts et politiciens reculent d’un pas et considèrent la question avec une certaine distance. La crise des caisses de pension, qui a été initiée par les taux d’intérêts négatifs, pourrait être une excellente occasion de le faire.
Dans son œuvre principale Philosophie de la liberté, Rudolf Steiner imagina une éthique qui repose sur la liberté individuelle, nommée l’individualisme éthique.
En se basant sur la notion de liberté, il chercha à définir dans ses textes et ses exposés sociologiques «comment l’organisme social doit être constitué afin que l’individu puisse se développer librement.» Il élabora l’idée de la triarticulation de l’organisme social, qu’il présenta publiquement pour la première fois il y a cent ans, en novembre 1917.
Nous regrettons cette décision, mais nous nous réjouissons pour et avec Wing Tran en vue de cette réorientation. Nous la remercions sincèrement pour son dévouement et son engagement à toute épreuve envers CoOpera Fondation collective PUK et lui adressons nos meilleurs vœux pour son avenir.
Marc Bachofner, conseiller à la clientèle, a lui aussi quitté notre établissement à fin août 2019. Marc Bachofner a soutenu la prévoyance ces huit derniers mois à un taux d’occupation de 50%. Ce père de famille a retrouvé un poste à 100% à partir de septembre 2019. Nous le remercions également pour sa précieuse collaboration et lui souhaitons un avenir radieux.
Andres Urben, conseiller à la clientèle avec une solide expérience professionnelle dans le domaine de la prévoyance auprès d’autres caisses de pension. Voici son portrait :
Je suis né à Berne en 1960 et j’ai grandi dans le quartier de Holligen/Fischermätteli. Au terme de ma scolarité passée dans les écoles de Steigerhubel et Munzinger, j’ai entamé en 1976 un apprentissage commercial dans la vente d’instruments de musique chez Musik Müller à Berne. J’ai obtenu mon CFC en 1979. Pour diverses raisons, je garde un excellent souvenir de cette époque. J’ai alors non seulement étoffé mes connaissances, mais aussi découvert et rencontré de nombreux artistes passionnants, connus de la scène locale mais aussi dans toute la Suisse, comme Housi Wittlin, René « Schifer » Schafer, Tinu Diem, Hanery Amman, Peter Reber et bien d’autres. Et surtout, j’ai rencontré celle qui allait devenir mon épouse et qui embellit encore ma vie.
Pour mon premier emploi après mon apprentissage, j’ai déménagé sur les rives du lac Léman. Chez Nestlé à Vevey, j’ai d’abord travaillé dans le département chargé de l’approvisionnement des marchés mondiaux en produits Nestlé. Plus tard, j’ai travaillé pour le département d’informatique de NESTEC. Durant cette période, j’ai non seulement perfectionné mon français, mais aussi renouvelé mes connaissances. Rencontrer des gens provenant de pays très différents a été source d’un grand enrichissement pour moi. Après quelques années en Suisse romande, je suis retourné à Berne pour travailler au centre de calcul du « Pentagone » (DMF) et ainsi appliquer et perfectionner mes connaissances en traitement des données.
Mes premiers contacts avec la prévoyance professionnelle datent de début 1986. L’entreprise Brodmann Software Systeme AG à Berne mettait alors sur pied une équipe chargée du développement d’un logiciel pour les caisses de pension. J’ai pu collaborer au développement de ce logiciel de gestion pendant cinq ans. En 1991, j’ai à nouveau changé de poste mais je suis resté dans le domaine du deuxième pilier. J’ai alors travaillé pour FIDES Informatik à Berne, où j’étais responsable, en tant que conseiller à la clientèle, de l’installation, du paramétrage et de la formation au logiciel pour caisses de pension PEKA développé de concert avec AG Büro 70.
Au printemps 1997, j’ai accepté de relever un nouveau défi en travaillant pour la caisse de pension HILTI à Schaan, au Liechtenstein. En prenant ce poste, j'adoptais également une nouvelle perspective de travail : je n’étais plus conseiller à la clientèle pour mes anciens clients, mais responsable administratif des trois fondations de prévoyance du groupe HILTI.
Pour des raisons familiales, je suis retourné à Berne à l’automne 2002. Chez CPS, j’ai continué à m’occuper de l’administration et du suivi des assurés et rentiers. J’ai aussi travaillé comme expert en prévoyance professionnelle pour la fondation de prévoyance edifondo à Berne (à partir de l’automne 2004) et pour la CPPEF à Fribourg (à partir du printemps 2008).
J’ai rejoint la famille CoOpera le 1er septembre 2019, où je travaille à 80% pour CoOpera Fondation collective PUK. Je me réjouis de mener une collaboration passionnante et fructueuse avec toute l’équipe.
Andres Urben
Melke Hanno, collaborateur spécialisé en comptabilité avec une solide expérience dans le domaine de la prévoyance, en comptabilité financière et en audit. Voici son portrait :
J’ai obtenu une maturité de type C avant de décrocher une maîtrise universitaire en management (gestion d’entreprise). En dehors de mon travail, je consacre mes loisirs à la randonnée, à la natation, au cyclisme et au jogging.
Ce que je souhaite ajouter : chaque être humain est responsable de ses propres sentiments, mais cela ne le dispense pas de la responsabilité du vivre ensemble. Jean-Paul Sartre
Melke Hanno
Angelica Peterlechner, quels moments forts liés à la réouverture d’Öpfelbaum vous ont particulièrement marquée ?
Angelica Peterlechner : Je n’en reviens toujours pas que nous ayons réussi à faire « sortir de terre » un magasin aussi joli en neuf mois. La foule qui est venue assister à la cérémonie d’inauguration, et ce malgré le mauvais temps, fut une confirmation et une source de grande émotion en même temps. Les nombreux avis des clients réguliers ou nouveaux pour qui Öpfelbaum est maintenant un endroit fantastique m’ont aussi fait chaud au cœur.
Quels ont été et quels sont les principaux défis à relever au cours des premières semaines qui suivent une telle réouverture ?
A.P. : Les processus, car ils sont devenus plus complexes là où nous nous trouvons actuellement. La taille de la localité a quelque peu rallongé les trajets et il faut du temps pour que les collaborateurs assimilent certains processus.
Un autre défi est d’ordre financier : il était tout simplement impossible d’établir un budget précis pour les travaux en si peu de temps. Voilà pourquoi nous cherchons actuellement un financement de CHF 100 000.– pour les trois prochaines années.
Que propose Öpfelbaum de spécial à la clientèle que celle-ci ne trouve nulle part ailleurs à Uster ?
Des plats bio maison servis dans notre bistrot. À Uster, cette prestation est unique. Nos quiches et nos soupes aux légumes sont préparées à base de légumes invendus de la veille. De plus, le vaste choix de produits bio régionaux se retrouve uniquement à Öpfelbaum.
En quoi la clientèle du nouvel emplacement est-elle différente ?
La clientèle s’est diversifiée. Chez nous, on rencontre des personnes de tout âge. Je vois souvent des nouvelles têtes, ce qui signifie que ces clients viennent désormais faire leurs courses chez nous.
Quelles conséquences avez-vous constatées en termes de chiffre d’affaires ?
Le chiffre d’affaires a clairement enregistré une embellie. Nous avons même pu commencer à combler un déficit qui avait commencé à se creuser au cours des cinq premiers mois de l’année 2019 à notre ancien emplacement. Il est toutefois évident que nous n’avons pas encore atteint nos objectifs de chiffre d’affaires avec le bistrot. Mais dans l’ensemble, nous sommes très heureux et convaincus que ce déménagement était nécessaire.
Quelles sont les priorités d’Öpfelbaum pour les années à venir ?
Il faut qu’Öpfelbaum devienne le numéro un incontesté pour tout ce qui concerne l’achat de produits bio à Uster. Nous souhaitons aussi qu’Öpfelbaum devienne une plaque tournante pour les producteurs et consommateurs, afin qu’ils puissent se rencontrer et échanger sur divers thèmes. Nous souhaitons être un lieu de partage entre personnes ayant des mêmes envies, tout en intéressant celles qui ne se sentent pas forcément concernées par le bio.
Que recommanderiez-vous à une entreprise bio qui envisage d’emprunter le chemin de la « renaissance » dans le futur ?
Il faut en premier lieu un solide esprit entrepreneurial couplé à de bonnes connaissances en économie d’entreprise. L’idéalisme et la passion seuls ne permettent pas de s’en sortir et prospérer sur le plan financier. Par ailleurs, je suis persuadée qu’un magasin bio doit avoir un certain volume pour rester fort sur le long terme.
Bio Partner cherche des entrepreneurs bio
Avec la réouverture d’Öpfelbaum, le programme « Renaissance » a été lancé avec succès. Bio Partner encourage les personnes ayant un fort esprit entrepreneurial à ouvrir leur propre magasin bio et à suivre l’exemple d’Öpfelbaum. Mais en rester au stade des encouragements ne suffit pas. Bio Partner y met aussi du sien et souhaite épauler les entrepreneurs pour que ceux-ci réalisent leur projet. Bio Partner est un partenaire à l’écoute des personnes qui aiment l’innovation, qui ont le sens des affaires et qui ont envie de se lancer de nouveaux défis. Le grossiste en produits bio souhaite contribuer, en collaboration avec des entrepreneurs courageux, à rendre ainsi le secteur du bio plus diversifié et plus attrayant.
Pour de plus amples informations sur le programme Renaissance: https://www.biopartner.ch/fr/renaissance
Bio Partner Schweiz AG
Bio Partner Schweiz AG est le premier prestataire de services et grossiste sur le marché bio suisse. Plus de 250 collaborateurs proposent aux clients des commerces spécialisés, commerces de détail, établissements gastronomiques et milieux industriels un assortiment complet de produits bio. Sa mission principale est de fournir une contribution spécifique pour une agriculture durable et assurant les moyens d’existence, un commerce spécialisé dans le bio solidement établi et une disponibilité élevée de denrées biologiques de très haute qualité pour des consommateurs conscients.
Leur objectif est de créer des places de travail, de proposer des activités individuelles et variées et d’exploiter des synergies communes. Au cours d’un atelier, les collaborateurs ont retenu divers projets pour l’utilisation de la halle verte, comme une maison de torréfaction de café, une boulangerie bio, un bar à café et un magasin. Les nouveaux locaux des deux étages de la surélévation seront utilisés comme ateliers et salles de travail, ce qui permet une exploitation globalement harmonieuse de ce bien immobilier. CoOpera a ainsi une nouvelle possibilité de réaliser un placement judicieux. L’investissement est de quelque 2,7 millions de francs et les nouveaux locaux seront disponibles en 2021.
Institutions: 518 (502)
Assurés: 4‘983 (4'918)
Rentiers: 1‘197 (1'147)
CSPUK Version succincte 2018 FR
Si vous souhaitez lire le rapport annuel détaillé 2018, vous pouvez le consulter en ligne sous https://coopera.ch/fr/document/rapports-annuels-cspuk.
Tous les rapports annuels d'autres institutions CoOpera sont également disponibles sur notre page d'accueil (seulement en langue allemand). Voici les rapports:
CoOpera Beteilungen AG: https://coopera.ch/dokumente/jbcbag
CoOpera Immobilien AG: https://coopera.ch/dokumente/jahresberichte-ciag
Terra et Habitare https://coopera.ch/dokumente/jahresberichte-terra-u-habitare
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